I Am A Youth That's Inclined To Ramble - Cara Dillon

I am a youth that’s inclined to ramble

To some foreign country I meen to steer

I am loath to part from my friends and comrades

And my dear sweatheart, whom I loved dear

But there’s one of those I do most admire

One her I 'll think when I 'm far away

For since fates decreed I am resolved to part her

And try my fortune in Americay

So farewell darling I must leave you

I place great dependence on your constancy

That no other young man may gain your favour

Or change your mind when I am o’ver the sea

For although the seas do separate us

And in between us they do rise and fall

If fortune favours me you’ll find your Jamie

Returning homeward from Americay

Oh Jamie dear do you remember

When I sat with you for manys the hour

And my young fancy away was carried

And the bees hummed around on each opening flower

But when you’re crossing the western ocean

The maid that loved you, you’ll ne’er mind ava

And you’ll scarce e’er think upon the maids of Erin

For you’ll find strange sweethearts in America

Oh Mary dear, I don’t disemble

For to all other fair maids I 'll prove untrue

And if you think that these are fales promise

I 'll leave these vows as a pledge to you

That what I have may prove unsuccessful

And fortune prove to me a slippery ball

That a favoring gale it may n’er blow on me

If forsake you in America

And to conclude and to end these verses

May God profect this young female fair

And keep her from every wild embarrassment

And of my darling take the greatest care

For she’s slow to anger and of kind disposition

And her cheeks like roses in June do blaw

In my nightly slumbers when e’er I think on her

I could court her vision in America

Je suis un jeune qui a tendance à divaguer

Vers un pays étranger que je veux diriger

Je déteste me séparer de mes amis et camarades

Et mon cher cœur de sueur, que j'aimais beaucoup

Mais il y en a un que j'admire le plus

Je penserai à elle quand je serai loin

Car depuis que le destin l'a décidé, je suis résolu à la séparer

Et tenter ma fortune en Amérique

Alors adieu chérie je dois te quitter

J'accorde une grande dépendance à votre constance

Qu'aucun autre jeune homme ne puisse gagner ta faveur

Ou changer d'avis quand je suis au-dessus de la mer

Car bien que les mers nous séparent

Et entre nous, ils montent et descendent

Si la fortune me favorise , vous trouverez votre Jamie

De retour d'Amérique

Oh Jamie chérie, te souviens-tu

Quand je me suis assis avec toi pendant des heures

Et ma jeune fantaisie a été emportée

Et les abeilles bourdonnaient sur chaque fleur qui s'ouvrait

Mais quand tu traverses l'océan occidental

La bonne qui t'aimait, tu ne t'en soucieras jamais

Et vous aurez à peine pensé aux servantes d'Erin

Car vous trouverez d'étranges amoureux en Amérique

Oh Mary chérie, je ne fais pas semblant

Car à toutes les autres belles filles, je prouverai le mensonge

Et si vous pensez que ce sont des promesses fausses

Je laisserai ces vœux comme un engagement envers toi

Que ce que j'ai peut s'avérer infructueux

Et la fortune me prouve une balle glissante

Qu'un coup de vent favorable ne peut jamais souffler sur moi

Si t'abandonne en Amérique

Et pour conclure et mettre fin à ces versets

Que Dieu profecte cette belle jeune femme

Et la garder de tout embarras sauvage

Et de ma chérie prends le plus grand soin

Car elle est lente à la colère et de bonne humeur

Et ses joues comme des roses en juin font blaw

Dans mon sommeil nocturne quand je pense à elle

Je pourrais courtiser sa vision en Amérique