Ravaging The Nine Pillars - Arkhon Infaustus

Heretic laughter in distorted senses shred the world in thunderous sounds

Enslaved to the religious bitch from inside cursing all with equal hate

The Devil’s kiss before I die to the great sacrament of the Grand Teneh

Rising from the deathlike slumber with pain amid the voices that mean nothing

But reversed words from the womb engraved reeking putrid semen elevation toward

the light

The limpid blood of the surrounding stream frees the lumbs enforced with filth

Faeces open deformed visions of reality forever dwelling before morality

Desecrated lineage of vision, penance through senses

The rape that no one fears wastes the essence of sin

The veil of the widow is a cum sudarium

Desecrated lineage of vision, penance through senses

Prophets of vain sights gave relies to all the cross shaded birth of the replica

Holy of Holies, rising of kings, greedy of sins, killing and raping

Sado-repentance of the ghastly bitch, and there I stand relieved from purgatory

The brimstone smell fills my lung and the sea gave up the dead

The mocking wrath of the prophets vomiting steel to crush nations

Laseive angels covering the walls, I am the flesh, I am the church of Hell

Apostles mystifying verses load cum into baptismal waters carried by addicted

angels

To an heroin cult of relics and idols, symbols to themselves of Baphomet

And I am legion, taking the throne usurped by lethargy divine

Gehenna stands and all will follow to the everlasting laws of the whore womb

From the blood of Ahaziah we mock the Lord that once was

Hosanna Sathanas, I bring the humiliation of Christ

Sheol blessed forehead, I am the abomination of God

The infection iniquity of the ten have raised me from ghost to God

Le rire hérétique aux sens déformés déchire le monde en sons tonitruants

Esclave de la salope religieuse de l'intérieur maudissant tout le monde avec la même haine

Le baiser du diable avant de mourir au grand sacrement du Grand Teneh

S'élevant du sommeil mortel avec douleur au milieu des voix qui ne veulent rien dire

Mais les mots inversés de l'utérus gravé puant l'élévation du sperme putride vers

la lumière

Le sang limpide du ruisseau qui l'entoure libère les lombaires renforcés par la crasse

Les matières fécales ouvrent des visions déformées de la réalité demeurant pour toujours devant la moralité

Lignée profanée de la vision, pénitence par les sens

Le viol que personne ne craint gaspille l'essence du péché

Le voile de la veuve est un sudarium

Lignée profanée de la vision, pénitence par les sens

Les prophètes des vues vaines ont donné des liens à toute la naissance ombragée de la réplique

Saint des saints, montée des rois, avide de péchés, tuant et violant

Sado-repentance de l'horrible chienne, et là je me tiens soulagé du purgatoire

L'odeur de soufre remplit mes poumons et la mer a abandonné les morts

La colère moqueuse des prophètes vomissant de l'acier pour écraser les nations

Derniers anges couvrant les murs, je suis la chair, je suis l'église de l'enfer

Les versets mystificateurs des apôtres chargent du sperme dans les eaux baptismales portées par des toxicomanes

anges

À un culte d'héroïne de reliques et d'idoles, symboles à eux-mêmes de Baphomet

Et je suis légion, prenant le trône usurpé par la léthargie divine

La géhenne se lève et tous suivront les lois éternelles du ventre de la putain

Du sang d'Achazia, nous nous moquons du Seigneur qui était autrefois

Hosanna Sathanas, j'apporte l'humiliation du Christ

Front béni du shéol, je suis l'abomination de Dieu

L'iniquité infectieuse des dix m'a élevé de fantôme à Dieu