Happy the Golden Prince - Robyn Hitchcock
С переводом

Happy the Golden Prince - Robyn Hitchcock

  • Альбом: I Wanna Go Backwards Box Set

  • Год: 2007
  • Язык: Anglais
  • Длительность: 6:40

Voici les paroles de la chanson : Happy the Golden Prince , artiste : Robyn Hitchcock Avec traduction

Paroles : Happy the Golden Prince "

Texte original avec traduction

Happy the Golden Prince

Robyn Hitchcock

Оригинальный текст

Twenty-five hours of love in the life of «Happy the Golden Prince Rides Again,»

his sluggish purple crest flopping over his dotty eyes as he casts a revolting

shadow over the courtyard

For many years he had played by himself in the vaults and turrets of his

father’s castle, occasionally drawing back the musty curtains of burgundy red

that masked him from the challenging sun or the ovulating moon.

He would lurch

past the flies on the windowsill like a figurehead through a bag of dust,

tip over the battlements and cough himself rigid, until white tears tumbled

sluggishly from the slot in his neck.

He would watch them recede into the fiery

blue waters of the living moat and hiss with amusement as, each drop animated

into a steel grey tadpole that writhed and dipped away towards the bank

One lurid afternoon Happy was surprised to see an ex-tadpole of his develop

into something he had never before seen, for living alone as he did,

with only mirrors for company, he knew nothing of women

The creature stood motionless on the opposite bank, her alabaster limbs

beckoning him from his father’s hall.

It was weird--She seemed as still and

cold as a statue;

indeed, Happy fancied he saw ivy curling 'round her feet.

Yet, her very stillness challenged the foetid breeze that stirred the trees

and shrubs about the moat

Happy sensed that she was important

Then, suddenly she opened both her eyes for what must have been the first time,

and he saw that they were trained on him

They were of a powerful matte strawberry hue, and they shone with the luster of

newly-opened chestnuts.

Her left hand dipped slightly and her mouth turned up

at the corner, as if to finally dispel any doubts as to her existence

A creeper that dangled flaccidly from the nearest turret-top brushed against

the shoulders of the purple-headed prince as he stood, pinned, like a butterfly

on a dartboard;

transfixed, but still writhing at her beauty.

Her sneer

increased to a smile and, as it did, Happy felt like a bottle of ginger beer

that someone had shaken violently and was about to open

Giddily, he swung himself onto the battlements, grabbed the idle creeper,

and swung across the water toward the princess.

He landed with a milky squelch

at her side and beneath an extraordinarily gnarled sumac tree.

Instantly she

leapt away, giving the lie to her immobility--this was flesh and blood!

Happy was convulsed with a strange yet familiar sensation;

he felt he should

be in a bathroom

And as he looked, the lowering vegetation above and before him took on the

dingy suggestive aura of dripping taps.

The moss beneath his shiny pink feet

was breathing sponge, caressing every pore of his skin with slimy microscopic

tendrils, and the moat behind him glistened like a sapphire basin,

silhouetting the darker lilypads that floated across it like filthy suds

Abruptly, Happy broke off this reverie, and wildly rotated his gaze

The creature had vanished.

Where could it be?

Happy reared up like a stallion

and rammed through the undergrowth in pursuit of the first female he had ever

seen.

A slithering rubbery whale diverted him from his soggy course and he

glanced to his left:

There it was!

Crouched in the corner of a clearing, her eyes bleeding light

into his, wearing a leopard-skin leotard, clutching an antenna to her brow,

and muttering «mm-gah» through a megaphone at him.

The ground shook,

and the jaws of the Earth admitted Happy the golden prince headfirst into a

deep hole.

The wavy green turf closed over him, though his thrashing feet

disturbed the surface for a moment or two longer

Happy found himself upside-down in a narrow fluorescent well that was both

moist and cheesy.

He quivered uncontrollably, aching with every inch of his

soul to scratch something, but where, he could not tell.

His feet were ringing

like telephone bells, and his head felt ready to burst.

His cloak flapped open

over his head like a bat’s, and he became aware that the well was growing

hotter and more muscular.

It seemed strangely enough to be shrinking about him,

like a skin around a fine pork sausage.

Yet he didn’t mind--his whole life at

the castle lay behind him now, sterile and eventless

He thought only how he would love to sneeze, and felt nothing but relief when

the cool arms of the woman vigorously unscrewed his head, and the toothpaste

flowed out as if it were gushing from a broken dam, into the very womb of the

earth

«So that’s who I am!»

he cried

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Happy the golden prince

Перевод песни

Vingt-cinq heures d'amour dans la vie de "Happy the Golden Prince Rides Again"

sa crête violette lente tombant sur ses yeux pointillés alors qu'il jette un révoltant

ombre sur la cour

Pendant de nombreuses années, il avait joué seul dans les voûtes et les tourelles de son

le château du père, tirant de temps en temps les rideaux moisis de rouge bordeaux

qui le masquait du soleil exigeant ou de la lune en ovulation.

Il vacillerait

passé les mouches sur le rebord de la fenêtre comme une figure de proue à travers un sac de poussière,

renverser les remparts et tousser raide, jusqu'à ce que des larmes blanches tombent

lentement de la fente de son cou.

Il les regarderait s'éloigner dans le feu

les eaux bleues des douves vivantes et sifflent d'amusement alors que chaque goutte s'anime

en un têtard gris acier qui se tordait et plongeait vers la rive

Un après-midi sinistre, Happy a été surpris de voir un de ses ex-têtards se développer

dans quelque chose qu'il n'avait jamais vu auparavant, pour avoir vécu seul comme il l'a fait,

avec seulement des miroirs pour compagnie, il ne savait rien des femmes

La créature se tenait immobile sur la rive opposée, ses membres d'albâtre

lui faisant signe de la salle de son père.

C'était bizarre - Elle semblait immobile et

froid comme une statue ;

en effet, Happy s'imaginait voir du lierre s'enrouler autour de ses pieds.

Pourtant, son immobilité même a défié la brise fétide qui a agité les arbres

et des arbustes autour des douves

Happy a senti qu'elle était importante

Puis, soudain, elle ouvrit les deux yeux pour ce qui devait être la première fois,

et il a vu qu'ils étaient entraînés sur lui

Ils étaient d'une puissante teinte fraise mate, et ils brillaient de l'éclat de

châtaignes fraîchement ouvertes.

Sa main gauche a légèrement baissé et sa bouche s'est retroussée

au coin de la rue, comme pour enfin dissiper les doutes sur son existence

Une plante grimpante qui pendait flasquement au sommet de la tourelle la plus proche effleura

les épaules du prince aux cheveux violets alors qu'il se tenait debout, épinglé, comme un papillon

sur un jeu de fléchettes ;

transpercée, mais toujours se tordant devant sa beauté.

Son ricanement

augmenté en un sourire et, ce faisant, Happy ressemblait à une bouteille de bière au gingembre

que quelqu'un avait secoué violemment et était sur le point d'ouvrir

Tour à tour, il se balança sur les remparts, saisit la plante grimpante oisive,

et balancé à travers l'eau vers la princesse.

Il a atterri avec un silencieux laiteux

à ses côtés et sous un sumac extraordinairement noueux.

Instantanément elle

bondit, démentant son immobilité - c'était de la chair et du sang !

Happy fut convulsé par une sensation étrange mais familière ;

il sentait qu'il devait

être dans une salle de bain

Et pendant qu'il regardait, la végétation qui s'abaissait au-dessus et devant lui prenait le

aura suggestive terne de robinets qui gouttent.

La mousse sous ses pieds roses brillants

respirait une éponge, caressant chaque pore de sa peau avec un microscopique visqueux

vrilles, et le fossé derrière lui brillait comme un bassin de saphir,

silhouettant les nénuphars plus sombres qui flottaient dessus comme de la mousse sale

Brusquement, Happy interrompit cette rêverie, et tourna sauvagement son regard

La créature avait disparu.

Où cela pourrait-il être ?

Heureux élevé comme un étalon

et a percuté les sous-bois à la poursuite de la première femme qu'il ait jamais eue

vu.

Une baleine caoutchouteuse rampante l'a détourné de sa route détrempée et il

jeta un coup d'œil à sa gauche :

C'était !

Accroupi dans le coin d'une clairière, ses yeux saignant de lumière

dans le sien, portant un justaucorps en peau de léopard, serrant une antenne sur son front,

et marmonnant "mm-gah" à travers un mégaphone vers lui.

Le sol a tremblé,

et les mâchoires de la Terre ont admis Happy le prince d'or tête la première dans un

trou profond.

Le gazon vert ondulé se referma sur lui, bien que ses pieds battants

a perturbé la surface pendant un moment ou deux de plus

Happy s'est retrouvé la tête en bas dans un puits fluorescent étroit qui était à la fois

humide et ringard.

Il tremblait de façon incontrôlable, endolori à chaque centimètre de son corps

âme pour gratter quelque chose, mais où, il ne pouvait pas le dire.

Ses pieds sonnaient

comme des sonneries de téléphone, et sa tête était prête à éclater.

Son manteau s'est ouvert

au-dessus de sa tête comme une chauve-souris, et il s'est rendu compte que le puits grandissait

plus chaud et plus musclé.

Il semblait assez étrangement qu'il se rétrécisse autour de lui,

comme une peau autour d'une fine saucisse de porc.

Pourtant, cela ne le dérangeait pas - toute sa vie à

le château était maintenant derrière lui, stérile et sans événements

Il n'a pensé qu'à quel point il aimerait éternuer et n'a ressenti que du soulagement quand

les bras froids de la femme dévissèrent vigoureusement sa tête, et le dentifrice

s'écoulait comme s'il jaillissait d'un barrage brisé, dans le sein même du

la terre

"Alors c'est qui je suis !"

il pleure

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

Heureux le prince d'or

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