Denouement - 156/Silence

They bother me.

All of these thoughts enter in

My amity faltered and rusted with chains.

I’m far from okay.

I just deteriorate

into these lies

I’ve tried convincing my mind I’m alright but the time healed nothing like I

was foretold it would mend me inside

Guess I’ll writhe in my shell.

I take the first hearse straight to hell

Don’t you cry when the bell rings at the cemetery funeral

You’ll be fine, I know

Don’t think of me when things are low

I deserve fire and brimstone as my casket and for my throne

Harrowing

Distressed, it seeks for the veins

From under flesh, this awaits me to break from pain with a blade to my wrists

On my grave, I hope you piss upon the memories you received and don’t you wish

for me to be at ease or in peace

Destructive tendencies delivered me to this place

A flood of entropy to permeate through my brain and I just take it.

I let decadence have the say.

Carrying me to waste

They bother me.

All of these thoughts enter in

I can sense a coming end enclosing on me.

Seducing, the noose lustfully caught

my eye

With a gaze, I contemplate sealing fate

This depression is severing all of my aspirations to attain a life of happiness

and leave without the shame that burdens me with lack of confidence and hatred

I disdain the way pain plays such a part in this, deterring me a way to carry on

Ils me dérangent.

Toutes ces pensées entrent en jeu

Mon amitié a faibli et s'est rouillée avec des chaînes.

Je suis loin d'être d'accord.

je viens de me détériorer

dans ces mensonges

J'ai essayé de convaincre mon esprit que je vais bien mais le temps n'a rien guéri comme moi

a été prédit qu'il me réparerait à l'intérieur

Je suppose que je vais me tordre dans ma coquille.

Je prends le premier corbillard directement en enfer

Ne pleure pas quand la cloche sonne aux funérailles du cimetière

Tout ira bien, je sais

Ne pense pas à moi quand les choses vont mal

Je mérite le feu et le soufre comme mon cercueil et mon trône

Poignant

Affligé, il cherche les veines

De sous la chair, cela m'attend pour sortir de la douleur avec une lame à mes poignets

Sur ma tombe, j'espère que tu pisse sur les souvenirs que tu as reçus et tu ne le souhaites pas

pour que je sois à l'aise ou en paix

Des tendances destructrices m'ont amené à cet endroit

Un déluge d'entropie pour imprégner mon cerveau et je le prends.

Je laisse la décadence avoir son mot à dire.

Me porter à gaspiller

Ils me dérangent.

Toutes ces pensées entrent en jeu

Je peux sentir une fin prochaine qui m'entoure.

Séduire, le nœud coulant attrapé avec luxure

mon oeil

D'un regard, je contemple le destin scellé

Cette dépression rompt toutes mes aspirations à atteindre une vie de bonheur

et partir sans la honte qui m'alourdit de manque de confiance et de haine

Je dédaigne la façon dont la douleur joue un tel rôle là-dedans, me dissuadant de continuer