Hit Me - 1984

This summer is wrong, blood in the heat

Is it my veins?

Buenos Aires is home

On the streets, suburbs, I meet

Only bodies in chains

Will I ever return to this city that burns away?

Whatever I choose, i’ve got the feeling i’ll lose myself

Anyway

I feel a warmth, fist on my cheek

Whose hand is there?

A tall man, russian type

I’ve never enjoyed a fever like this

I spit in his hair

Will I ever return to this city that burns away?

Whatever I choose, i’ve got nothing to lose or gain

Anyway

Like a dear trapped in its antlers, i’m caged in my secrets

Secret pains I will never reveal, even to my pets

These bastards drink all my vodka at night when I sleep, I can’t trust them

I chose the silence and all the noise of the world decided to hit me This summer is hell, blood on my lips

Hate in their veins, Buenos Aires is blown

On the streets, in the suburbs, I meet

Glances in flames

Will I ever return to this city that burns away?

Whatever I choose, i’ve got nothing to lose or gain

Anyway

Like a dear trapped in its antlers, i’m caged in my secrets

Secret pains I will never reveal, even to my pets

These bastards drink all my vodka at night when I sleep, I can’t trust them

I chose the silence and all the noise of the world decided to hit me The fortress cracks and panic rises, oh I know they'll hit me Outlaws like prudish wives, they're all dying to hit me All these eyes like forks and knives

, all sharpened to eat me So let's have our fight and share at last the only tongue we can speak

Cet été est mauvais, du sang dans la chaleur

S'agit-il de mes veines ?

Buenos Aires est la maison

Dans les rues, les banlieues, je rencontre

Seuls les corps enchaînés

Est-ce que je reviendrai un jour dans cette ville qui brûle ?

Quoi que je choisisse, j'ai le sentiment que je vais me perdre

En tous cas

Je ressens une chaleur, le poing sur ma joue

À qui appartient la main ?

Un homme grand, de type russe

Je n'ai jamais apprécié une fièvre comme celle-ci

Je crache dans ses cheveux

Est-ce que je reviendrai un jour dans cette ville qui brûle ?

Quoi que je choisisse, je n'ai rien à perdre ni à gagner

En tous cas

Comme un cher piégé dans ses bois, je suis enfermé dans mes secrets

Douleurs secrètes que je ne révélerai jamais, même à mes animaux de compagnie

Ces bâtards boivent toute ma vodka la nuit quand je dors, je ne peux pas leur faire confiance

J'ai choisi le silence et tout le bruit du monde a décidé de me frapper Cet été est l'enfer, du sang sur mes lèvres

La haine dans leurs veines, Buenos Aires est soufflé

Dans la rue, en banlieue, je rencontre

Regards dans les flammes

Est-ce que je reviendrai un jour dans cette ville qui brûle ?

Quoi que je choisisse, je n'ai rien à perdre ni à gagner

En tous cas

Comme un cher piégé dans ses bois, je suis enfermé dans mes secrets

Douleurs secrètes que je ne révélerai jamais, même à mes animaux de compagnie

Ces bâtards boivent toute ma vodka la nuit quand je dors, je ne peux pas leur faire confiance

J'ai choisi le silence et tout le bruit du monde a décidé de me frapper La forteresse se fissure et la panique monte, oh je sais qu'ils vont me frapper Hors-la-loi comme des femmes prudes, ils meurent tous de me frapper Tous ces yeux comme des fourchettes et des couteaux

, tous aiguisés pour me manger Alors battons-nous et partageons enfin la seule langue que nous pouvons parler