The Hyperion Threnody - Mechina

Cursed be the ones who believe in the fantasy we call peace

Bound by machines I am forced to believe that what I see is the end of a breed

When will we see that the worlds that we dream and desperately seek

Will never come to be as long as we spread like disease

The machine hear it sing

Like an anvil made of Cepheon steel

Astrea let the hammer fall

Its call will be heard by all

The only true destiny to find peace will be found in eternal sleep

Our fate destined to be absorbed by the stars

Consumed by entropy

If only the dead could see what these worlds have come to be they’d close their

eyes

And return to sleep

The worlds that we seed will fall like the leaves from a dying tree

Cursed by the breeze

When will we see that the worlds that we dream and desperately seek

Will never come to be as long as we spread like disease

The machine hear it sing

Like an anvil made of Cepheon Steel

Astrea let the hammer fall

Its call will be heard by all

The only true destiny to find peace will be found in eternal sleep

Our fate destined to be absorbed by the stars

Consumed by entropy

If only the dead could see what these worlds have come to be they’d close their

eyes

And return to sleep

Maudits soient ceux qui croient au fantasme que nous appelons la paix

Lié par des machines, je suis forcé de croire que ce que je vois est la fin d'une race

Quand verrons-nous que les mondes que nous rêvons et cherchons désespérément

Ne deviendra jamais tant que nous nous propagerons comme une maladie

La machine l'entend chanter

Comme une enclume en acier Cepheon

Astrea a laissé tomber le marteau

Son appel sera entendu de tous

Le seul vrai destin pour trouver la paix sera dans le sommeil éternel

Notre destin destiné à être absorbé par les étoiles

Consommé par l'entropie

Si seuls les morts pouvaient voir ce que ces mondes sont devenus, ils fermeraient leur

les yeux

Et se rendormir

Les mondes que nous ensemençons tomberont comme les feuilles d'un arbre mourant

Maudit par la brise

Quand verrons-nous que les mondes que nous rêvons et cherchons désespérément

Ne deviendra jamais tant que nous nous propagerons comme une maladie

La machine l'entend chanter

Comme une enclume en acier Cepheon

Astrea a laissé tomber le marteau

Son appel sera entendu de tous

Le seul vrai destin pour trouver la paix sera dans le sommeil éternel

Notre destin destiné à être absorbé par les étoiles

Consommé par l'entropie

Si seuls les morts pouvaient voir ce que ces mondes sont devenus, ils fermeraient leur

les yeux

Et se rendormir