Sad Cinderella - Townes Van Zandt

By townes van zandt

When the bandits have stolen your jewelry and gone

And your crippled young gypsy, hes grown tall and strong

And your dead misconceptions have proven you wrong

Well then, princess, where you plannin to turn to?

When your magazine memory has spun you around

And you realize your lovers were just painted clowns

And outside your window you start hearing sounds

Where theyre building a cross for to burn you

When all your bright scarlet turn slowly to blue

Will you stop and decide that its over?

When your teardrops go sour and no longer fall

The splash cross the virgin that lives down your hall

And spends all her nights with an ear to your wall

Well then, what will you have you can offer?

When the firedancers finish and leave you alone

With nothing but embers and sacks full of stone

That hang round your neck, slicing through to the bone

Will there still be place for your laughter?

As your shattered illusions come a-tumblin home

And all of the butchers youve nourished have grown

And they are suddenly able to leave you alone

And they run like slaves that are set free

When your questions are answered and your pleading is done

And your mind starts to screaming that you aint the one

That once dwelled within you, will you turn, will you run

Then princess, will you come home and get me?

Par townes van zandt

Quand les bandits ont volé tes bijoux et sont partis

Et ton jeune gitan estropié, il est devenu grand et fort

Et tes idées fausses mortes ont prouvé que tu avais tort

Eh bien, princesse, vers qui comptez-vous vous tourner ?

Quand ta mémoire de magazine t'a fait tourner en rond

Et tu réalises que tes amants n'étaient que des clowns peints

Et à l'extérieur de ta fenêtre, tu commences à entendre des sons

Où ils construisent une croix pour te brûler

Quand tout ton écarlate brillant vire lentement au bleu

Allez-vous vous arrêter et décider que c'est fini ?

Quand tes larmes deviennent aigres et ne tombent plus

Les éclaboussures traversent la vierge qui vit dans ton couloir

Et passe toutes ses nuits avec une oreille contre ton mur

Eh bien, qu'aurez-vous à offrir ?

Quand les firedancers finissent et te laissent tranquille

Avec rien d'autre que des braises et des sacs pleins de pierres

Qui pendent autour de ton cou, tranchant jusqu'à l'os

Y aura-t-il encore de la place pour votre rire ?

Alors que tes illusions brisées rentrent à la maison

Et tous les bouchers que tu as nourris ont grandi

Et ils sont soudainement capables de vous laisser tranquille

Et ils courent comme des esclaves libérés

Lorsque vos questions ont reçu une réponse et que votre plaidoirie est terminée

Et votre esprit commence à crier que vous n'êtes pas le seul

Qui habitait autrefois en toi, tourneras-tu, fuiras-tu

Alors princesse, veux-tu venir à la maison et me chercher ?