Mi Reino, El Olvido - Opera Magna

Fui la tragedia que narran los versos

De un mundo agotado que llega a su fin

Fui la promesa que nace de un beso

Y el viento la arrastra a morir

Fui la leyenda enterrada en el tiempo

La voz de aquel sueño qu no se cumplió

Fui la razón que entorpece la vida

La vida sin una razón

Aún llevo grabado en mi corazón

Un cuento olvidado que nadie escuchó

Si ayer fuiste llanto, hoy serás canción

En labios sellados por esta cruel maldición

Mi reino es el olvido

Mi dios es la soledad

Noches perpetuas que no acabarán

Días sin luz inmersos en la fría oscuridad

Dejando escapar mil lagrimas

Fui la locura que engaña a tu alma

Atrapé a la tormenta y ala tempestad

Fui la prisión de mis propias pasiones

El miedo a perder y a ganar

Aún llevo en mi pecho clavada una flor

De amargas espinas y triste color

Si el tiempo me alcanza podré olvidar

La eterna condena que esperará al final

Mi reino es el olvido

Mi dios es la soledad

Noches perpetuas que no acabarán

Días sin luz inmersos en la fría oscuridad

Sentenciado a recordar

Que no habrá penitencia jamás

Al pecado de amar

Mi reino es el olvido…

Mi reino es el olvido

Mi dios es la soledad

Noches perpetuas que no acabarán

Días sin luz inmersos en la fría oscuridad

Sentenciado a recordar

Que no habrá penitencia jamás

Ni piedad al amar

J'étais la tragédie que les versets racontent

D'un monde épuisé qui touche à sa fin

J'étais la promesse qui naît d'un baiser

Et le vent l'entraîne à mourir

J'étais la légende enterrée dans le temps

La voix de ce rêve qui ne s'est pas réalisé

J'étais la raison qui entrave la vie

la vie sans raison

J'ai encore gravé dans mon coeur

Une histoire oubliée que personne n'a entendu

Si hier tu pleurais, aujourd'hui tu seras une chanson

Sur des lèvres scellées par cette malédiction cruelle

mon royaume est l'oubli

mon dieu est la solitude

Des nuits perpétuelles qui ne finiront pas

Des jours sans lumière plongés dans l'obscurité froide

Laisser échapper mille larmes

J'étais la folie qui trompe ton âme

J'ai attrapé la tempête et la tempête

J'étais la prison de mes propres passions

La peur de perdre et de gagner

J'ai encore une fleur clouée sur ma poitrine

D'épines amères et de couleurs tristes

Si le temps m'atteint je pourrai oublier

La damnation éternelle qui attendra à la fin

mon royaume est l'oubli

mon dieu est la solitude

Des nuits perpétuelles qui ne finiront pas

Des jours sans lumière plongés dans l'obscurité froide

condamné à se souvenir

Qu'il n'y aura jamais de pénitence

au péché d'aimer

Mon royaume est l'oubli...

mon royaume est l'oubli

mon dieu est la solitude

Des nuits perpétuelles qui ne finiront pas

Des jours sans lumière plongés dans l'obscurité froide

condamné à se souvenir

Qu'il n'y aura jamais de pénitence

Pas de pitié quand on aime