Consigned to the Wind - 4th Dimension

I’ll never dispel the shadows between us,

God He knows how long I’ve tried

I soothed my thirst for vengeance, forgiveness touched my bitter lips,

But still I faced only pain and sorrow…

Sad past, it’s shade lingers on,

I’ve fought and lied, yet it’s thee I love…

Hear the tale, flying on the wings of fate, a poem unfolding we’ve left

incomplete

Frost Flower, can’t you see…

We had time, but we lost ourselves, time, time when we could grow divine

To defy Heaven’s blessing’s a sin, consigned to the wind…

Seasons have passed, the circle’s been closed now,

Awkward silence in coldness reigns

Rage of the fools did rule us, searing words as fiery blades,

Plunging deep to the core…

Two wastelands of half-healed wounds, the aftermath due

No glory, to bitter shame we’re subdued…

On a winter’s night, by the diamond moon, eyes would meet, Chance stirred anew

In the coldest hour we stood still, souls aflame, one Fate to fulfill

Though distant, those memories they won’t fade…

Concealed in my heart, yet their flicker remains…

Hear the tale, flying on the wings of fate, a poem unfolding we might yet

complete

Frost Flower, can’t you see…

There’s no time, time it’s here, time, time for you to be mine

One word, our circle will bleed, consigned to the wind…

On that winter’s night, bright Herald of Doom, by her light I’ve pledged life

to you

In the midnight hour, kneeling still, truthful tears, a promise thus sealed

Not even a shade in your heart will remain…

Hear the tale, flying on the wings of fate, a poem unfolding we’ll never

complete

Frost Flower, can’t you see…

That in time you’ll regret the time, time when you could have been mine

One’s fault, my heart is released…

Frost Flower, can’t you see…

That in time you’ll regret the time, time when you could have been mine

Our love, dawn of a dream, we’ve consigned to the wind…

Consigned to the wind

Je ne dissiperai jamais les ombres entre nous,

Dieu sait combien de temps j'ai essayé

J'ai apaisé ma soif de vengeance, le pardon a touché mes lèvres amères,

Mais je ne faisais face qu'à la douleur et au chagrin...

Triste passé, c'est l'ombre qui s'attarde,

Je me suis battu et j'ai menti, pourtant c'est toi que j'aime...

Écoutez l'histoire, volant sur les ailes du destin, un poème qui se déroule que nous avons laissé

incomplet

Fleur de givre, ne vois-tu pas…

Nous avions du temps, mais nous nous sommes perdus, du temps, du temps où nous pouvions devenir divins

Défier la bénédiction du Ciel est un péché, relégué au vent...

Les saisons ont passé, le cercle est fermé maintenant,

Un silence gênant dans la froideur règne

La rage des imbéciles nous a gouvernés, les mots brûlants comme des lames ardentes,

Plonger profondément dans le cœur…

Deux friches de blessures à moitié cicatrisées, les séquelles dues

Pas de gloire, à la honte amère, nous sommes maîtrisés…

Par une nuit d'hiver, près de la lune de diamant, les yeux se rencontraient, le hasard s'agitait à nouveau

À l'heure la plus froide, nous sommes restés immobiles, les âmes enflammées, un seul destin à accomplir

Bien que lointains, ces souvenirs ne s'effaceront pas…

Caché dans mon cœur, pourtant leur scintillement demeure…

Écoutez l'histoire, volant sur les ailes du destin, un poème qui se déroule peut-être encore

Achevée

Fleur de givre, ne vois-tu pas…

Il n'y a pas de temps, le temps est là, le temps, le temps pour que tu sois à moi

Un mot, notre cercle saignera, livré au vent…

En cette nuit d'hiver, brillant Herald of Doom, par sa lumière j'ai promis la vie

pour vous

À l'heure de minuit, toujours agenouillé, larmes véridiques, une promesse ainsi scellée

Il ne restera même pas une ombre dans votre cœur…

Écoutez l'histoire, volant sur les ailes du destin, un poème qui se déroule que nous n'aurons jamais

Achevée

Fleur de givre, ne vois-tu pas…

Qu'avec le temps tu regretteras le temps, le temps où tu aurais pu être à moi

De la faute, mon cœur est libéré…

Fleur de givre, ne vois-tu pas…

Qu'avec le temps tu regretteras le temps, le temps où tu aurais pu être à moi

Notre amour, aube d'un rêve, nous l'avons envoyé au vent...

Relégué au vent