In due è amore, in tre è una festa - Lo Stato Sociale

Sono quattro anni che ti amo

E non ti ho mai parlato di Zeman

Così ti sei scordata che giochiamo

Con la palla e non con la catena

Sono dieci stagioni che ti amo

Ed una in più che son rimasto senza di te

Hai detto: «Non ti comporti da vero uomo

Se stiamo insieme dev’esserci un cliché»

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

E c'è chi parte e c'è chi resta

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

In due è amore, in tre è una festa

Sono tredici notti che ti sogno

Che se ero americano portavi sfortuna

Ma troppe armi al supermarket

Troppi controlli alla dogana

Per uno che si fa esplodere il senno sulla luna

Ma non sai che bello che era quel sogno

Di un mondo dal disordine pulito

Senza venditori e preti, esattori ed esegeti

O stupidi convinti di aver capito

La formula dell’amplesso

Il mostro dietro al successo

Le sette piccole differenze fra cattivi e buoni

Ma tutti che fanno davvero le cose

Nessuno che le spiega

Più canzoni, meno rompicoglioni

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

E c'è chi è pazza, c'è chi è sana

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Io ti amo, ma tu sei vegana

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

E c'è chi è rosso, c'è chi è verde

Pe-re-pe-re-pe-re, pe-pe

Pa-ra-pa-ra-pa-ra, pa-ra-pa-pa

Nella vita ho tifato sempre per chi perde

Je t'aime depuis quatre ans

Et je ne t'ai jamais parlé de Zeman

Donc tu as oublié que nous jouons

Avec le ballon et non avec la chaîne

Je t'ai aimé pendant dix saisons

Et un de plus que je suis resté sans toi

Tu as dit "Tu ne te comportes pas comme un vrai homme

Si on est ensemble il doit y avoir un cliché"

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Et il y a ceux qui partent et il y a ceux qui restent

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

A deux c'est l'amour, à trois c'est la fête

J'ai rêvé de toi pendant treize nuits

Que si j'étais un Américain tu portais la malchance

Mais trop d'armes au supermarché

Trop de contrôles douaniers

Pour quelqu'un qui souffle son esprit sur la lune

Mais tu ne sais pas à quel point ce rêve était beau

D'un monde de désordre propre

Sans vendeurs et prêtres, collecteurs de dettes et exégètes

Ou des gens stupides qui pensent qu'ils comprennent

La formule du coït

Le monstre derrière le succès

Les sept petites différences entre le mal et le bien

Mais tous ceux qui font vraiment des choses

Personne ne les explique

Plus de chansons, moins de douleur dans le cul

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Et y'a ceux qui sont fous, y'a ceux qui sont en bonne santé

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Je t'aime, mais tu es vegan

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Et y'a ceux qui sont rouges, y'a ceux qui sont verts

Pé-ré-pé-ré-pé-ré, pé-pé

Pa-ra-pa-ra-pa-ra, pa-ra-pa-pa

Dans la vie j'ai toujours applaudi ceux qui perdent