Young Black Millions - 9th Prince, Don Don

Aiyo, 9th, man

Aiyo, BP, man, it’s Don Don

I open up doors when I floss

And I’m zealous for this money on tours that you claimin' that’s your’s

While you lookin' like you out of sorts, I’m havin' no thoughts

Of stackin' these chips while you smackin' ya lips

Everything you talk about you need to think about

It helps to bleed and treed on rap fiends, that’s what black needs

Learn how to separate the real from the fake

The cat from the snake, maybe then you could get a plate

I never let a man take me out my character

To prove I’m a killer, any nigga pull a trigger

And you never too old to learn

Put ya pride to the side and maybe then we could get a burn

Everybody wanna kill for power

Unity brings power, one man will just devour

While we killin' off a portion of a strong nation

We need to analyze this shit we facin'

Aiyo, young black millionaires, we ghetto souvenirs

After the Laughter sometimes comes Tearz

We drink and pour the beers, sometimes we swear

Young, gifted and black yet still we never fear

You gon' bump this and you gon' like this

Even if you ride out to it you gon' like this

Even if you up in the club you gon' light this

And money with the Clan, aiyo, you gon' like this

Aiyo, the black Einstein, whenever I rhyme I design the ill line

And get the crowd hype like Patron and lime

9th Prince the soloist with a twist

Sharp as a Razor that’ll cut ya wrist

Fishin' out the water, leave the hook in his back

For actin' out of wack, fat asses I slap

I did bids, ran with stick-up kids, Vicious like Sid

Black ghetto prince, my defense always in sequence

Smack you senseless, never go against this

Hip-hop is back and independent

You could die in a heartbeat, the Granddaddy Flowin' Al Don

Rockin' lucky charms, we keep firearm in our palms

We’re ready and able at all times to drop the bomb

With no alarm, my Staten Island niggas never stay calm

Aiyo, 9e, homme

Aiyo, BP, mec, c'est Don Don

J'ouvre des portes quand je passe du fil dentaire

Et je suis zélé pour cet argent sur les tournées que vous prétendez que c'est la vôtre

Pendant que tu as l'air mal à l'aise, je n'ai pas de pensées

D'empiler ces chips pendant que tu te claques les lèvres

Vous devez réfléchir à tout ce dont vous parlez

Ça aide à saigner et à planter des démons du rap, c'est ce dont les noirs ont besoin

Apprenez à séparer le vrai du faux

Le chat du serpent, peut-être que vous pourriez alors obtenir une assiette

Je ne laisse jamais un homme me sortir de mon personnage

Pour prouver que je suis un tueur, n'importe quel négro appuie sur la gâchette

Et tu n'es jamais trop vieux pour apprendre

Mettez votre fierté de côté et peut-être qu'alors nous pourrions nous brûler

Tout le monde veut tuer pour le pouvoir

L'unité apporte le pouvoir, un seul homme dévorera

Pendant que nous tuons une partie d'une nation forte

Nous devons analyser cette merde à laquelle nous sommes confrontés

Aiyo, jeunes millionnaires noirs, nous souvenirs du ghetto

Après le rire vient parfois Tearz

Nous buvons et versons les bières, parfois nous jurons

Jeune, doué et noir mais nous n'avons jamais peur

Tu vas cogner ça et tu vas aimer ça

Même si tu y vas, tu vas aimer ça

Même si tu montes dans le club tu vas allumer ça

Et de l'argent avec le Clan, aiyo, tu vas aimer ça

Aiyo, l'Einstein noir, chaque fois que je rime, je dessine la mauvaise ligne

Et obtenir le battage médiatique comme Patron et citron vert

9ème Prince le soliste avec une torsion

Tranchant comme un rasoir qui te coupera le poignet

Je pêche dans l'eau, laisse l'hameçon dans son dos

Pour avoir agi de manière farfelue, gros culs je gifle

J'ai fait des offres, j'ai couru avec des gosses branleurs, vicieux comme Sid

Prince du ghetto noir, ma défense toujours en séquence

Vous gifler insensé, ne jamais aller à l'encontre de cela

Le hip-hop est de retour et indépendant

Tu pourrais mourir en un clin d'œil, le grand-père Flowin' Al Don

Porte-bonheur, nous gardons une arme à feu dans nos paumes

Nous sommes prêts et capables à tout moment de larguer la bombe

Sans alarme, mes négros de Staten Island ne restent jamais calmes