Oblivion - A Wake in Providence, Mark Poida

Feeding upon the fears in our mind, Shining the light upon the horrors that

dwell inside

I know his name, and soon they will know his shame.

This is the end

This is oblivion

I know his name

(I know his name)

We will be lost under his shroud of hate

When did these dreams make my reality a living hell?

Trapped under the shroud

of putridity, I can’t escape this parabolic scene.

My soul is withering at the

seams, fucking with my sanity

I have been plagued with the sight of this world engulfed in flames.

They’re playing tricks on my mind, the voices echo through my brain

Death is knocking at my door, plotting and scheming with words seething.

Under the waning sun, I am left to exist in this gloom

They fell like dominoes within my consciousness.

We are devoid of existence.

Take in the sight of the beast.

Accept the visions of woe

Let them encapsulate you.

I have succumbed to the fear I loathe,

consumed by the curse, forever lost within this valley, behind the spires of

obsidian, occupied by delusions of grandeur, fabricating my psyche with words

of my new deity

They haunt me in my dreams, manipulating my sanity

Feeding upon the fears in our mind, shining the light upon the horrors that

dwell inside

I know his name, and soon they will know his shame

This is oblivion

Show your face, demon of my dreams.

Show your face, my nightmare, my reality

Se nourrissant des peurs dans notre esprit, faisant la lumière sur les horreurs qui

habiter à l'intérieur

Je connais son nom, et bientôt ils connaîtront sa honte.

C'est la fin

C'est l'oubli

Je connais son nom

(je connais son nom)

Nous serons perdus sous son linceul de haine

Quand ces rêves ont-ils fait de ma réalité un enfer ?

Pris au piège sous le linceul

de putridité, je ne peux pas échapper à cette scène parabolique.

Mon âme se flétrit à la

coutures, baiser avec ma santé mentale

J'ai été tourmenté par la vue de ce monde englouti par les flammes.

Ils me jouent des tours, les voix résonnent dans mon cerveau

La mort frappe à ma porte, complotant et complotant avec des mots bouillonnants.

Sous le soleil déclinant, il me reste à exister dans cette morosité

Ils sont tombés comme des dominos dans ma conscience.

Nous sommes dépourvus d'existence.

Admirez la vue de la bête.

Acceptez les visions de malheur

Laissez-les vous encapsuler.

J'ai succombé à la peur que je déteste,

consumé par la malédiction, perdu à jamais dans cette vallée, derrière les flèches de

obsidienne, occupée par des illusions de grandeur, fabriquant ma psyché avec des mots

de ma nouvelle divinité

Ils me hantent dans mes rêves, manipulant ma santé mentale

Se nourrissant des peurs dans notre esprit, faisant la lumière sur les horreurs qui

habiter à l'intérieur

Je connais son nom, et bientôt ils connaîtront sa honte

C'est l'oubli

Montre ton visage, démon de mes rêves.

Montre ton visage, mon cauchemar, ma réalité