Broken Home - Afterlife

It started late that night

Punch after punch, I was running for my life

I was fourteen in a day dream

Woke up in reality, It’s all too real for me

She’s on the floor, he’s on the phone

Can’t help but feel that I broke this home

But I like to think there’s a light at the end

Yet I never really know when I’ll see you again

(Bless this broken home)

(Only one that I know)

(Bless this broken home)

They say (They say, they say)

That pain comes and goes

Hold on (Hold on, hold on)

To what makes you whole

Yeah, so would you take me back?

Tell me I’m a son that you wish you always had?

You know, the one that grew up and made you proud

Instead I’m all alone and my thoughts surround me

Telling myself just to take the blame

So I pick up the pieces, carry the shame

But I like to think there’s a light at the end

Yet I never really know when I’ll see you again

They say (They say, they say)

That pain comes and goes

Hold on (Hold on, hold on)

To what makes you whole

I’m sick of the mistrust, I’m sick of the pain

I’m sick of the violence, it’s never the same

So sick from the heartache I feel in my chest

I’m stuck in the past where I didn’t exist

And since that day I never felt the same

I always thought about what I would change

And now I know there is no light at the end

I had to come to terms, I’ll never see you again

(See you again, see you again)

(They say that pain comes and goes)

They say (They say, they say)

That pain comes and goes (That pain comes and goes)

Hold on (Hold on, hold on)

To what makes you whole (To what makes you whole)

Bless this broken home, only one that I know

Pain comes and goes, pain comes and goes

Bless this broken home, only one that I know

Pain comes and goes, pain comes and goes

Ça a commencé tard ce soir-là

Coup après coup, je courais pour sauver ma vie

J'avais quatorze ans dans un rêve éveillé

Je me suis réveillé dans la réalité, tout est trop réel pour moi

Elle est par terre, il est au téléphone

Je ne peux pas m'empêcher de penser que j'ai brisé cette maison

Mais j'aime penser qu'il y a une lumière à la fin

Pourtant, je ne sais jamais vraiment quand je te reverrai

(Bénissez cette maison brisée)

(Un seul que je connais)

(Bénissez cette maison brisée)

Ils disent (Ils disent, ils disent)

Cette douleur va et vient

Tiens bon (Tiens bon, tiens bon)

À ce qui vous rend entier

Ouais, alors veux-tu me ramener ?

Dis-moi que je suis un fils que tu aimerais avoir toujours ?

Tu sais, celui qui a grandi et qui t'a rendu fier

Au lieu de cela, je suis tout seul et mes pensées m'entourent

Me disant juste de prendre le blâme

Alors je ramasse les morceaux, porte la honte

Mais j'aime penser qu'il y a une lumière à la fin

Pourtant, je ne sais jamais vraiment quand je te reverrai

Ils disent (Ils disent, ils disent)

Cette douleur va et vient

Tiens bon (Tiens bon, tiens bon)

À ce qui vous rend entier

J'en ai marre de la méfiance, j'en ai marre de la douleur

J'en ai marre de la violence, ce n'est jamais pareil

Tellement malade du chagrin que je ressens dans ma poitrine

Je suis coincé dans le passé où je n'existais pas

Et depuis ce jour je n'ai plus jamais ressenti la même chose

J'ai toujours pensé à ce que je changerais

Et maintenant je sais qu'il n'y a pas de lumière à la fin

J'ai dû m'entendre, je ne te reverrai plus jamais

(On se reverra, on se reverra)

(Ils disent que la douleur va et vient)

Ils disent (Ils disent, ils disent)

Cette douleur va et vient (Cette douleur va et vient)

Tiens bon (Tiens bon, tiens bon)

À ce qui vous rend entier (À ce qui vous rend entier)

Bénis cette maison brisée, la seule que je connaisse

La douleur va et vient, la douleur va et vient

Bénis cette maison brisée, la seule que je connaisse

La douleur va et vient, la douleur va et vient