Cold Emptiness - Amederia

Having forgotten about autumn we rush into winter and get drown in cold

emptiness,

having closed the hand over the warmth of our souls.

for a moment we recall (call in mind) the scraps of lies and bitterness of loss.

and death then has taken our souls

and we have understood there is no way back…

why can’t we get nor in paradise nor in hell???

that’s because we are the other ones

we are ghosts, running into the darkness …

They remember only the night and the road.

And ahead — ahead is only death…

And no, that’s not frightening, that’s not the end of the jorney

There’s no need to cry, this won’t help,

Because the tears are the moans of the soul, that will kill you soon…

But the life could be so beautiful,

Could be as sweet as taste of blood for a vampire,

But we have choosen our way ourselves, and again and again we follow the road

into the night

And once again, having forgotten about autumn and winter, we get drowned into

the darkness of the ages

(Merci à Ahmed pour cettes paroles)

Ayant oublié l'automne, nous nous précipitons vers l'hiver et nous nous noyons dans le froid

vide,

ayant fermé la main sur la chaleur de nos âmes.

pendant un instant, nous nous rappelons (rappelons à l'esprit) les bribes de mensonges et l'amertume de la perte.

et la mort a alors pris nos âmes

et nous avons compris qu'il n'y a pas de retour en arrière...

pourquoi ne pouvons-nous pas aller ni au paradis ni en enfer ???

c'est parce que nous sommes les autres

nous sommes des fantômes, courant dans les ténèbres…

Ils ne se souviennent que de la nuit et de la route.

Et devant - devant n'est que la mort…

Et non, ce n'est pas effrayant, ce n'est pas la fin du voyage

Inutile de pleurer, cela n'aidera pas,

Parce que les larmes sont les gémissements de l'âme, cela vous tuera bientôt…

Mais la vie pourrait être si belle,

Pourrait être aussi doux que le goût du sang pour un vampire,

Mais nous avons choisi notre chemin nous-mêmes, et encore et encore nous suivons la route

dans la nuit

Et encore une fois, ayant oublié l'automne et l'hiver, nous nous noyons dans

l'obscurité des âges

(Merci à Ahmed pour ces paroles)