Bonny Woodhall - Andy Irvine, Paul Brady, Dónal Lunny
С переводом

Bonny Woodhall - Andy Irvine, Paul Brady, Dónal Lunny

Альбом
Andy Irvine & Paul Brady
Год
2008
Язык
`Anglais`
Длительность
315760

Voici les paroles de la chanson : Bonny Woodhall , artiste : Andy Irvine, Paul Brady, Dónal Lunny Avec traduction

Paroles : Bonny Woodhall "

Texte original avec traduction

Bonny Woodhall

Andy Irvine, Paul Brady, Dónal Lunny

Оригинальный текст

Down by yon green bushes near Calder’s clear stream

Where me and my Annie so often have been

When the hours flew past us, right happy were we

It was little she thought that a soldier I’d be

But it’s farewell to Annie and I must away

For the King he needs soldiers and I must obey

But if providence proves kind, love, until I return

I will wed with my Annie near Calder’s clear burn

On the 14th of August our regiment was lost

And a ball from the enemy our lines came across

O, It struck me in the temple and the blood trickled down

I reeled and I staggered and I fell to the ground

«Come here,» says our captain, «come here with good speed

For I fear by this bullet young Dinsmore lies dead.»

Two men with a stretcher did quickly prepare

And they carried me away to a hospital there

Cold water and brandy they poured out so free

They turned me all over my wounds for to see

But if I had my Annie to bind up my wounds

One kiss from her sweet lips would soon deaden the stoun

And it’s when I am weary and think of lang syne

When I was a miner and wrought in the mine

O, the tears they do trickle and down they do fall

Like the roses that bloom around bonny Woodhall

Перевод песни

Près des buissons verts près du clair ruisseau de Calder

Où moi et ma Annie avons été si souvent

Quand les heures passaient devant nous, heureux étions-nous

C'était peu, elle pensait qu'un soldat je serais

Mais c'est adieu à Annie et je dois partir

Pour le roi, il a besoin de soldats et je dois obéir

Mais si la providence se montre gentille, mon amour, jusqu'à ce que je revienne

Je vais me marier avec ma Annie près de la brûlure claire de Calder

Le 14 août, notre régiment a été perdu

Et une balle de l'ennemi que nos lignes ont rencontré

O, ça m'a frappé dans la tempe et le sang a coulé

J'ai chancelé et j'ai chancelé et je suis tombé par terre

«Venez ici», dit notre capitaine, «venez ici avec une bonne vitesse

Car je crains par cette balle que le jeune Dinsmore ne soit mort. »

Deux hommes avec une civière se sont rapidement préparés

Et ils m'ont emmené dans un hôpital là-bas

De l'eau froide et du brandy qu'ils ont versé si gratuitement

Ils m'ont retourné sur mes blessures pour voir

Mais si j'avais mon Annie pour panser mes blessures

Un baiser de ses douces lèvres étoufferait bientôt le stoun

Et c'est quand je suis fatigué et que je pense à lang syne

Quand j'étais mineur et que je travaillais dans la mine

O, les larmes qu'ils coulent et qu'ils tombent

Comme les roses qui fleurissent autour de bonny Woodhall

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