Forever I Ride - Antichrisis

As the autumn wind blows hard in crawling devastation

I was not prepared to find fate in a state of rage

Love once seemed so strong to me, promis-ing salvation

Another Tragedie d’amour appearing on life’s stage And again he hears the

raven’s cry…

I’m strucked down without warning

With your words like cyanide

She left me In the morning but forever I will

Ride

And forever ride…

Suddenly I’m lost inside tremendous aberra-tion

Songs that used to make me glad now make me wanna cry Restlessly I’m walking

empty streets up to The station

Standing there in silence as the trains keep

Passing by And he turns his face towards the sky…

The stars fade in the dawning.

But the door’s still opened wide

And still I am adorning, but forever I will ride

And forever I ride…

In love from the first time that I saw you and the fire in your eyes Take me to your sea of flowers Hold me as the wind shakes the rye

Lady of the Lake: I long to be with you Burning streams like ours cannot

disband The mist it spreads your name in early morning dew Forever shall you be Queen of the Land

Incense leaving trails of smoke A vision of us fasting our hands Angels laying

siege to my heart and I shall not longer withstand

Lady of the Lake: I long to be with you This love of ours will never ever end

May the silver moon make alt our dreams come true Forever shall you be Queen of the Land

Hear the song of the waves

Storm’s calling up thunder and light

A premature grave overgrown by black lillles

Of night

Hekate arise!

Bring back the love of my life!

Rain falls down, it soaks my cloak on this

Cold grey morning

I missed the last train that could have me Taken back to you!

There’s no use in staying here waiting for

The dawning

The fool Just saddles up again as if he

Always knew

And again he hears the raven’s cry

Alors que le vent d'automne souffle fort dans la dévastation rampante

Je n'étais pas prêt à trouver le destin dans un état de rage

L'amour m'a semblé autrefois si fort, promettant le salut

Une autre tragédie d'amour apparaissant sur la scène de la vie Et encore une fois, il entend le

cri du corbeau…

Je suis terrassé sans prévenir

Avec tes mots comme du cyanure

Elle m'a quitté le matin mais pour toujours je le ferai

Promenade

Et rouler pour toujours…

Soudain, je suis perdu à l'intérieur d'une énorme aberration

Les chansons qui me rendaient heureux maintenant me donnent envie de pleurer Je marche sans repos

rues vides jusqu'à la gare

Debout là en silence pendant que les trains continuent

En passant Et il tourne son visage vers le ciel…

Les étoiles se fanent à l'aube.

Mais la porte est toujours grande ouverte

Et je suis toujours orné, mais pour toujours je chevaucherai

Et pour toujours je roule…

Amoureux depuis la première fois que je t'ai vu et le feu dans tes yeux Emmène-moi dans ta mer de fleurs Tiens-moi comme le vent secoue le seigle

Dame du Lac : je veux être avec toi Des ruisseaux brûlants comme le nôtre ne peuvent pas

dissoudre La brume qui répand ton nom dans la rosée du matin Pour toujours tu seras la Reine de la Terre

De l'encens laissant des traînées de fumée Une vision de nous jeûnant nos mains Des anges posant

assiège mon cœur et je ne résisterai plus

Dame du Lac : je veux être avec toi, notre amour ne finira jamais

Que la lune d'argent réalise tous nos rêves Pour toujours tu seras la reine de la terre

Écoutez le chant des vagues

La tempête appelle le tonnerre et la lumière

Une tombe prématurée envahie par les lilles noires

De la nuit

Hécate lève-toi !

Ramenez l'amour de ma vie !

La pluie tombe, elle trempe ma cape dessus

Matin froid et gris

J'ai raté le dernier train qui aurait pu me ramener vers vous !

Il ne sert à rien de rester ici à attendre

L'aube

Le fou se remet en selle comme s'il

A toujours su

Et de nouveau il entend le cri du corbeau