Voici les paroles de la chanson : Силуэт , artiste : Ассаи Avec traduction
Texte original avec traduction
Ассаи
Пойми, нет причины видеть чёрный цвет,
Эти очи в ночи освещают проспект,
И затяни безопасности ремни —
Мы летим по трассе как прототипы луны.
Знаешь, новый день, новый-новый мир,
Самый верный шаг, нами любвеобильными…
Зелеными домами, на минуту бис,
Как будто он не знает откуда этот лист.
Так тихо тает ветер и почти затих,
Мы на берегу, притворившись детьми,
Смеёмся над собой и встречаем рассвет,
И, мон ами, прости меня за эту любовь…
И не дня, и не дня, и не дня…
Чувствуй во мне то, что ты не поняла.
Не моя, не моя, не моя…
Звуками, силуэтами кутая…
Я знаю, с первыми лучами тает тихий час,
Пей сваренный кофе именно натощак.
Бежать на озеро, джаз, ногами голыми
Мыслями тех, кого любить и хранить,
Чтобы горело солнце всем пьяно-идущим
Мы делаем глоток воздуха туч,
Набрав полную грудь, чтобы кричалось,
Не томи, дай мне чувство, что не встречалось.
Как первые ноты голоса шумного леса,
Там звонкое эхо летит, пугая беса,
Качели скрипели весь день за городами,
Мон ами, прости меня за эту любовь…
И не дня, и не дня, и не дня…
Чувствуй во мне то, что ты не поняла.
Не моя, не моя, не моя…
Звуками, силуэтами кутая…
Comprenez qu'il n'y a aucune raison de voir le noir
Ces yeux éclairent l'avenue dans la nuit,
Et serrez vos ceintures -
Nous volons le long de la piste comme des prototypes de la lune.
Tu sais, un nouveau jour, un nouveau, nouveau monde,
Le pas le plus sûr, par nous aimer ...
Maisons vertes, pour un rappel,
Comme s'il ne savait pas d'où venait cette feuille.
Si doucement le vent fond et s'est presque éteint,
Nous sommes sur le rivage, faisant semblant d'être des enfants,
Nous rions de nous-mêmes et rencontrons l'aube,
Et, mon ami, pardonne-moi cet amour...
Et pas un jour, et pas un jour, et pas un jour...
Sentez en moi ce que vous ne comprenez pas.
Pas le mien, pas le mien, pas le mien...
Des sons, des silhouettes enveloppées...
Je sais que l'heure tranquille fond avec les premiers rayons,
Buvez du café infusé à jeun.
Courir au lac, jazz, pieds nus
Les pensées de ceux qui aiment et gardent,
Brûler le soleil à tous les ivrognes marchant
Nous prenons une bouffée d'air nuageux,
Taper un torse plein pour crier,
Ne tourmentez pas, donnez-moi le sentiment que vous n'avez pas rencontré.
Comme les premières notes de la voix d'une forêt bruyante,
Là, un écho retentissant vole, effrayant le démon,
Les balançoires grinçaient toute la journée hors des villes,
Mon ami, pardonne-moi cet amour...
Et pas un jour, et pas un jour, et pas un jour...
Sentez en moi ce que vous ne comprenez pas.
Pas le mien, pas le mien, pas le mien...
Des sons, des silhouettes enveloppées...
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