Voici les paroles de la chanson : Le merde fanno affari , artiste : Assalti Frontali Avec traduction
Texte original avec traduction
Assalti Frontali
So you wanna fry my brain?
/ so you wanna fry my brain?
Una mattina mi son svegliato e ho trovato l’untore / oh partigiano portami via
quel palo ripetitore
H ll sul te-te-tetto maledetto / punta drit- drit- dritto alla mia camera da
letto / h mattina sto in cucina
A prendermi il caffh / quando vedo lassy in cima una squadra della tre /
capisci il mio sgomento
Le merde fanno affari / piantando addosso a noi antenne per i cellulari / e
cari miei amati ascoltatori
Se li vedete all’opera capite i miei dolori / quegli mbonitori, sono dei
violentatori / peggio della sars
Ti sfondano di radiazioni / era una mattina bella quando da st’affaccio / vedo
quel corvaccio che mi
Stringe in un abbraccio / apro la finestra e mi sento di morire / oh partigiano.
.
meglio muoversi e agire
C’h un qualcuno lassy appeso al palo che lavora / gli grido: «tu scendi giy hai
sbagliato persona
Cosa stai facendo a quali' altezza su quella terraza?
/ valla a montare in
faccia a casa tua
Quella seliffezza / che mattina da segnarmela nel calendario / scendo In strada
e dr l’allarme
A tutto il circondario / grido: attenzionel signori e signore / alzate gli
occhi al cielo c’h un bacillo invasore
Questo h il business delle antenne sui palazzi / ci sparano le onde come
lanciarazzi
E sono cazzi e sono cazzi / perchh adesso noi diventiamo pazzi
Sono quindici metri di ripetitore / la gente passa guarda e dice- ma che brutto
fiore!
-
Io al megafono rispondo quello h un fiore velenoso / giorno e notte ti perfora
il sistema nervoso / entra in casa
Zitto zitto senza dire nulla / ma le onde se le prende anche mia figlia nella
culla / questo mi fa incazzare
Avvelenare il sangue / per me h gi` aperta una guerra civile strisciante /
molti forse ancora non lo sanno
Ma chi affitta il tetto becca ventimila euro l’anno / coperto per l’effetto
dell’ombrello
Ai vicini invece le onde friggono il cervello / capito i corrotti?
i grandi cuori!
/ si pittano lo stabile e si pagano
I termosifoni / a noi ci lasciano principi e rischi di tumori / capito la citt`
civile sindaco veltroni!
Questo h il business delle antenne sui palazzi / ci sparano le onde come
lanciarazzi
E sono cazzi e sono cazzi / perchh adesso noi diventiamo pazzi
Cos' sono in strada e ne ho raccolti cento / di incazzati del quartiere e
vaffanculo a ogni regolamento
Il traffico h bloccato, poi anche l' isolato / chiamate chi vi pare, i vigili,
la Nato / questo h un allarme sociale
Buttate giy l’antenna da quel tetto Infame / e vergogna per i giuda che l’hanno
accettata
Hanno tradito e violentato questa bella strada / scendono signore,
arrivano i ragazzi / siamo in cinquecento
Ora e diventiamo pazzi / questa h l’aria che noi respiriamo, h la nostra vita /
noi l’amiamo e rifinita
E quelle onde sono una smaltita.
/ arriva l’assessore, poi le volanti della
polizia / gli untori della tre
Se ne vanno via / ma questa zona ora h preda da una scossa / lottiamo come
fossimo leoni nella fossa
Io da parte mia ormai sono una belva / perchh se guardi in alto vedi che ce n’h
ma selva
Qui fanno educazione permanente / a subire danni dall' alto e non dire niente
Questo e il business delle antenne sui palazzi / ci sparano le onde come
lanciaxazzi
E sono cazzi e sono cazzi / perchh adesso noi diventiamo pazzi
So you wanna fry my brain?
/ so you wanna fry my brain?
(Grazie a AnNozErO per questo testo)
Alors tu veux me faire frire le cerveau ?
/ alors tu veux me faire frire le cerveau ?
Un matin je me suis réveillé et j'ai trouvé le graisseur / oh partisan m'emmène
ce pôle répétiteur
H ll sur le putain de te-te-toit / pointe tout droit vers ma chambre depuis
lit / h matin je suis dans la cuisine
Pour prendre mon café / quand je vois lassy en haut une équipe de trois /
tu comprends mon désarroi
Les merdes font des affaires / plantent des antennes de téléphones portables sur nous
mes chers auditeurs bien-aimés
Si tu les vois travailler tu comprends mes peines / ces aboyeurs, ce sont des dieux
violeurs / pire que le sars
Ils traversent avec des radiations / c'était une belle matinée quand je regarde dehors / je vois
ce corbeau que je
Serre dans un câlin / J'ouvre la fenêtre et j'ai envie de mourir / Oh partisan.
.
mieux vaut bouger et agir
Il y a une fille accrochée au poteau qui travaille / je lui crie: "tu descends giy hai
mauvaise personne
Que fais-tu à quelle hauteur sur cette terrasse ?
/ aller monter dans
fais le chez toi
Cette selfie / quelle matinée pour la marquer dans mon agenda / je descends dans la rue
et dr l'alarme
A tout le quartier / crier : attention, mesdames et messieurs / élever les
les yeux vers le ciel il y a un bacille envahissant
C'est l'affaire des antennes sur les immeubles / elles nous lancent des ondes comme
lance-roquettes
Et ce sont des connards et ce sont des connards / parce que maintenant nous devenons fous
Il y a quinze mètres de répétiteur / les gens passent, regardent et disent - mais comme c'est moche
fleur!
-
Je réponds au mégaphone qui a une fleur venimeuse / jour et nuit elle te transperce
le système nerveux / entre dans la maison
Chut chut sans rien dire / mais les vagues sont aussi prises par ma fille dans le
berceau / ça me fait chier
Empoisonner le sang / une guerre civile rampante a déjà commencé pour moi /
beaucoup ne savent peut-être pas encore
Mais ceux qui louent le toit reçoivent vingt mille euros par an / couverts pour l'effet
parapluie
Aux voisins au lieu de cela, les vagues font frire le cerveau / compris les corrompus ?
les grands coeurs !
/ ils peignent le bâtiment et le paient
Les radiateurs / on laisse les principes et les risques de cancer / compris la ville
maire civil veltroni!
C'est l'affaire des antennes sur les immeubles / elles nous lancent des ondes comme
lance-roquettes
Et ce sont des connards et ce sont des connards / parce que maintenant nous devenons fous
Parce que j'suis dans la rue et j'ai ramassé une centaine d'/d'énervés du quartier et
va te faire foutre tous les règlements
Le trafic est bloqué, puis aussi le bloque/appelle qui tu veux, la brigade,
né / c'est une alarme sociale
Jetez l'antenne de ce toit Infâme / et honte aux Judas qui l'ont
accepté
Ils ont trahi et violé cette belle route / descendez mesdames,
les garçons arrivent / nous sommes cinq cents
Maintenant et nous devenons fous / c'est l'air que nous respirons, c'est notre vie /
nous l'aimons et l'avons raffiné
Et ces ondes sont éliminées.
/ le conseiller arrive, puis les volants du
police / les graisseurs des trois
Ils s'en vont / mais cette zone est maintenant en sursaut / on se bat comme
nous étions des lions dans la fosse
Pour ma part, je suis maintenant une bête / parce que si tu lèves les yeux tu vois qu'il y a des
mais forêt
Ici, ils font de l'éducation permanente / pour subir des dégâts d'en haut et ne rien dire
C'est l'affaire des antennes sur les immeubles / elles nous lancent des ondes comme
lanciaxazzi
Et ce sont des connards et ce sont des connards / parce que maintenant nous devenons fous
Alors tu veux me faire frire le cerveau ?
/ alors tu veux me faire frire le cerveau ?
(Merci à AnNozErO pour ce texte)
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