Oceanwalk - Astronautalis

I saw the door and I looked through the entrance

Stare down night sky, dot pattern seeming endless

Broken friendship, dandy dog on leash

Door latch caught spot, shoe stomp on street

Tape deck plays and the reels will spin

Suburb sound close down as boom-bap begin

My red face hide in the shades of the trees

As buggered blue moonlight pass through the leaves

Carry out my concerning deeds in the deprivation of the darkness

The com-com-comfort of cave-dweller locked inside of an apartment

I spark this with the marked mistakes of minors learning

How to build a better book of matches by watching the fire burning

Count all my dreams on a pair of Pinocchio fingers

And trace the trail back home by the tumbling splinters

A silly beginner, basic apprentice aggression

In the absence of a master, trying to make up my own lesson

Who knew I would wait, I would wait such a long time

Who knew I would wait, I would wait such a long time

From the dreams to the leaves to the cracks in the pavement

To the roaches and rats to the armored cars pacing

From the spies to the thieves to the cross-eyed complainers

To the… ain't that long when you count out the paces

From the breach to the tracks to the aliens with statements

To the grief to the crap that they all want to wade in

To the forth and back, the forth and back

There’s no turning back and back and back and back again

Secrets explode whether you mean it or not

I locked my dreams with the right keys but I worked the wrong locks

The strong box screws split quick before I could retighten

I learned lightning strikes and leaves before language leaks «it lightens»

The waking of the dead to live and work with the freaks

I was a vampire roaming streets when I would swear I’is asleep

The beeping of the buzzer burn my brain the next day

I tried to brush my teeth but never could remove the blood stains

A double life of moonlighting grows tiring from trying

If you got to work a day job and keep the villagers from rioting

The list of lies, lengthened longer, left life laymen honest

Invited the world into my home to show the bones stacked in my closet

A dumb little skeleton walking miles to chase a silly dream

Stubborn skull, split shoes, punctuated by abrasive feet

All the while stalking, walking, awkward through the night

In the stomach of the suburbs with a dog by my side

From the dreams to the leaves to the cracks in the pavement

To the roaches and rats to the armored cars pacing

From the spies to the thieves to the cross-eyed complainers

To the… ain't that long when you count out the paces

From the breach to the tracks to the aliens with statements

To the grief to the crap that they all want to wade in

To the forth and back, the forth and back

There’s no turning back and back and back and back again

From the dreams to the leaves to the cracks in the pavement

To the roaches and rats to the armored cars pacing

From the spies to the thieves to the cross-eyed complainers

To the… ain't that long when you count out the paces

From the breach to the tracks to the aliens with statements

To the grief to the crap that they all want to wade in

To the forth and back, the forth and back

Forth and back and back and back again

From the dreams to the leaves to the cracks in the pavement

To the roaches and rats to the armored cars pacing

From the spies to the thieves to the cross-eyed complainers

To the… ain't that long when you count out the paces

From the breach to the tracks to the aliens with statements

To the grief to the crap that they all want to wade in

To the forth and back, the forth and back

There’s no turning back and back and back and back again

J'ai vu la porte et j'ai regardé par l'entrée

Fixe le ciel nocturne, le motif de points semble sans fin

Amitié brisée, chien dandy en laisse

Le loquet de la porte s'est coincé, le piétinement de la chaussure dans la rue

La platine à cassette joue et les rouleaux tournent

Le son de la banlieue se ferme alors que le boom-bap commence

Mon visage rouge se cache à l'ombre des arbres

Alors que le clair de lune bleu enculé passe à travers les feuilles

Accomplissez mes actes concernant la privation des ténèbres

Le com-com-confort d'un habitant des cavernes enfermé à l'intérieur d'un appartement

J'allume ça avec les erreurs marquées des mineurs qui apprennent

Comment construire un meilleur livre d'allumettes en regardant le feu brûler

Compter tous mes rêves sur une paire de doigts de Pinocchio

Et tracer le chemin du retour à la maison par les éclats qui s'effondrent

Un débutant stupide, une agression de base de l'apprenti

En l'absence d'un maître, essayer d'inventer ma propre leçon

Qui savait que j'attendrais, j'attendrais si longtemps

Qui savait que j'attendrais, j'attendrais si longtemps

Des rêves aux feuilles aux fissures du trottoir

Aux cafards et aux rats aux voitures blindées qui arpentent

Des espions aux voleurs en passant par les plaignants louches

Jusqu'au... ce n'est pas si long quand tu comptes les pas

De la brèche aux pistes aux extraterrestres avec des déclarations

Au chagrin de la merde dans laquelle ils veulent tous patauger

À l'avant et à l'arrière, à l'avant et à l'arrière

Il n'y a pas de retour en arrière et en arrière et en arrière et en arrière encore

Les secrets explosent, que vous le vouliez ou non

J'ai verrouillé mes rêves avec les bonnes clés mais j'ai travaillé avec les mauvaises serrures

Les vis du coffre-fort se sont rapidement fendues avant que je puisse les resserrer

J'ai appris les coups de foudre et les feuilles avant que le langage ne fuit "ça s'éclaire"

Le réveil des morts pour vivre et travailler avec les monstres

J'étais un vampire errant dans les rues quand je jurerais que je dors

Le bip du buzzer me brûle le cerveau le lendemain

J'ai essayé de me brosser les dents mais je n'ai jamais pu enlever les taches de sang

Une double vie au noir devient fatigante à force d'essayer

Si vous devez travailler un travail de jour et empêcher les villageois de se révolter

La liste des mensonges, allongée plus longtemps, a laissé les profanes de la vie honnêtes

J'ai invité le monde chez moi pour montrer les os empilés dans mon placard

Un petit squelette stupide marchant des kilomètres pour poursuivre un rêve stupide

Crâne têtu, chaussures fendues, ponctuées de pieds abrasifs

Tout en traquant, en marchant, maladroitement dans la nuit

Dans le ventre de la banlieue avec un chien à mes côtés

Des rêves aux feuilles aux fissures du trottoir

Aux cafards et aux rats aux voitures blindées qui arpentent

Des espions aux voleurs en passant par les plaignants louches

Jusqu'au... ce n'est pas si long quand tu comptes les pas

De la brèche aux pistes aux extraterrestres avec des déclarations

Au chagrin de la merde dans laquelle ils veulent tous patauger

À l'avant et à l'arrière, à l'avant et à l'arrière

Il n'y a pas de retour en arrière et en arrière et en arrière et en arrière encore

Des rêves aux feuilles aux fissures du trottoir

Aux cafards et aux rats aux voitures blindées qui arpentent

Des espions aux voleurs en passant par les plaignants louches

Jusqu'au... ce n'est pas si long quand tu comptes les pas

De la brèche aux pistes aux extraterrestres avec des déclarations

Au chagrin de la merde dans laquelle ils veulent tous patauger

À l'avant et à l'arrière, à l'avant et à l'arrière

En avant et en arrière et en arrière et en arrière encore

Des rêves aux feuilles aux fissures du trottoir

Aux cafards et aux rats aux voitures blindées qui arpentent

Des espions aux voleurs en passant par les plaignants louches

Jusqu'au... ce n'est pas si long quand tu comptes les pas

De la brèche aux pistes aux extraterrestres avec des déclarations

Au chagrin de la merde dans laquelle ils veulent tous patauger

À l'avant et à l'arrière, à l'avant et à l'arrière

Il n'y a pas de retour en arrière et en arrière et en arrière et en arrière encore