Voici les paroles de la chanson : Retrospect , artiste : Autumn Avec traduction
Texte original avec traduction
Autumn
Aching, tearing fabric
Dragging footsteps through unsympathetic streets
Grinding teeth, brittle bones
The weight of a world not my own flung onto well-worn shoulders
When was it I wrote this and everything mattered?
When was it I seemed to matter to some?
Were my tears tasting sour, losing hope by the hour?
We were never this bent over hours well spent
None the wiser
Fed up being poorly fed
This tasteless nourishment is like salt in my wounds
Only the bitter notion of a sour aftertaste
Still party my lips in sweet sickening addiction
When was it I wrote this and everything mattered?
When was it I seemed to matter to some?
Was there blue in your song
Seeping red from your lips?
Pay no mind, mind no matter
None the wiser
All the same
I must have forgotten to count the days
Mark the pages that tell of my age
Pay no mind, mind no matter
No matter what, it matters not
To none
None the wiser
All the same
In fierce pacing sinews a tension relentlessly rises
One risk too many worth taking.
A beating of senses
I’m senseless, towering restless over my horizon
When was it I wrote this and everything mattered?
When was it I seemed to matter to some?
Were my tears tasting sour, losing hope by the hour?
We were never this bent over hours well spent
None the wiser
When was it I wrote this and everything mattered?
When was it I seemed to matter to some?
Was there blue in your song, seeping red from your lips?
Pay no mind, mind no matter
None the wiser
Tissu douloureux et déchiré
Traînant des pas dans des rues antipathiques
Grincements de dents, os cassants
Le poids d'un monde qui n'est pas le mien jeté sur des épaules usées
Quand est-ce que j'ai écrit ceci et que tout comptait ?
Quand est-ce que j'ai semblé compter pour certains ?
Mes larmes avaient-elles un goût aigre, perdant espoir d'heure en heure ?
Nous n'avons jamais été aussi concentrés sur les heures bien dépensées
Aucun n'est plus sage
Marre d'être mal nourri
Cette nourriture insipide est comme du sel dans mes blessures
Seule la notion amère d'un arrière-goût aigre
Toujours faire la fête avec mes lèvres dans une douce dépendance écoeurante
Quand est-ce que j'ai écrit ceci et que tout comptait ?
Quand est-ce que j'ai semblé compter pour certains ?
Y avait-il du bleu dans ta chanson
Du rouge s'écoule de tes lèvres ?
Ne t'en fais pas, ne t'en fais pas
Aucun n'est plus sage
Tous les mêmes
J'ai dû oublier de compter les jours
Marquez les pages qui parlent de mon âge
Ne t'en fais pas, ne t'en fais pas
Quoi qu'il en soit, cela n'a pas d'importance
À aucun
Aucun n'est plus sage
Tous les mêmes
Dans un rythme féroce, une tension monte sans relâche
Un risque de trop à prendre.
Un battement de sens
Je suis insensé, dominant mon horizon agité
Quand est-ce que j'ai écrit ceci et que tout comptait ?
Quand est-ce que j'ai semblé compter pour certains ?
Mes larmes avaient-elles un goût aigre, perdant espoir d'heure en heure ?
Nous n'avons jamais été aussi concentrés sur les heures bien dépensées
Aucun n'est plus sage
Quand est-ce que j'ai écrit ceci et que tout comptait ?
Quand est-ce que j'ai semblé compter pour certains ?
Y avait-il du bleu dans votre chanson, suintant du rouge de vos lèvres ?
Ne t'en fais pas, ne t'en fais pas
Aucun n'est plus sage
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