Voici les paroles de la chanson : Pianos and Clocks , artiste : Aztec Camera Avec traduction
Texte original avec traduction
Aztec Camera
Well, hello there, sweet to see you
Like your colour, how you doin'?
I’ve been battered and bewildered
In the beauty of your ruins
Flash, flash and I am blinded
By the fact that you’ve been born
Feels like fiction life goes on
Brown eyes are gone
Silence is a virtue
I was taught so I agreed
Conversation half forgotten
Is the hole I hold in me
And all our language and expression
Is decimated by decree
The sound of song dies in the dawn
Brown eyes are gone
Descended slowly on the
Steps of the cathedral
Where I kissed you
Remembered candles lit with meaning
I imposed but that escaped you
With your brown eyes
And your blue jeans
I heard the chiming of the clocks
Kick out the shifting
Shuffling rhythm of your docs
Hit the road with my compadre
Saw the city incomplete
We were tossed and torn and tumbled
In your famous foreign streets
I felt so fearless and forgotten
No-one numbered nothing neat
The son has shone, we still belong
Brown eyes are gone
So farewell then senorita
Pianos played and set the tone
I was singing like a servant
To the tune of telephones
I wish you freedom and forgiveness
And a time that is your own
Blue is the colour, mine’s the moment
Brown eyes are gone
Eh bien, bonjour, ravi de vous voir
Comme ta couleur, comment vas-tu ?
J'ai été battu et déconcerté
Dans la beauté de tes ruines
Flash, flash et je suis aveuglé
Par le fait que tu es né
On dirait que la vie de fiction continue
Les yeux marrons sont partis
Le silence est une vertu
On m'a appris alors j'ai accepté
Conversation à moitié oubliée
Est-ce que le trou que je tiens en moi
Et tout notre langage et expression
Est décimé par décret
Le son de la chanson meurt à l'aube
Les yeux marrons sont partis
Descendu lentement sur le
Marches de la cathédrale
Où je t'ai embrassé
Bougies commémoratives allumées avec sens
J'ai imposé mais ça t'a échappé
Avec tes yeux marrons
Et ton jean bleu
J'ai entendu le carillon des horloges
Éliminez le changement de vitesse
Rythme aléatoire de vos documents
Prends la route avec mon compadre
J'ai vu la ville incomplète
Nous avons été secoués, déchirés et dégringolés
Dans tes célèbres rues étrangères
Je me sentais si intrépide et oublié
Personne n'a compté rien de net
Le fils a brillé, nous appartenons toujours
Les yeux marrons sont partis
Alors adieu senorita
Les pianos ont joué et donné le ton
Je chantais comme un serviteur
Au rythme des téléphones
Je vous souhaite la liberté et le pardon
Et un temps qui est le vôtre
Le bleu est la couleur, le mien est le moment
Les yeux marrons sont partis
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