City Of Dreams - Ben Harper, Ellen Harper

Day breaks over the city of my childhood

Daybreak over the city I called home

Where the sage met the sea and the groves were sweet and green

It’s a city that lives only in my dreams

The groves where we played when we were children

The groves where we fooled around as teens

Those green groves are paved from la to Santa Fe That city lives only in my dreams

Landmarks lost to parking lots in the city I called home

Looking back I see what used to be Now freeways crawl though the suburban sprawl

As far as the eye can see

And the city lives only in my dreams

Twilight shades the valley of my memory

When citrus groves still perfumed the sky

But I guess those orange blossoms weren’t so special after all

Now it’s a city of days gone by Landmarks lost to parking lots in the city I called home

Looking back i see what used to be Now freeways crawl through the suburban sprawl

As far as the eye can see

And the city lives only in my dreams

Le jour se lève sur la ville de mon enfance

L'aube sur la ville que j'ai appelée chez moi

Où la sauge rencontra la mer et les bosquets étaient doux et verts

C'est une ville qui ne vit que dans mes rêves

Les bosquets où nous jouions quand nous étions enfants

Les bosquets où nous nous sommes amusés en tant qu'adolescents

Ces bosquets verts sont pavés de la à Santa Fe Cette ville ne vit que dans mes rêves

Repères perdus dans les parkings de la ville que j'appelle chez moi

En regardant en arrière, je vois ce qu'était maintenant les autoroutes rampent à travers l'étalement des banlieues

Aussi loin que l'œil peut voir

Et la ville ne vit que dans mes rêves

Le crépuscule ombrage la vallée de ma mémoire

Quand les vergers d'agrumes parfumaient encore le ciel

Mais je suppose que ces fleurs d'oranger n'étaient pas si spéciales après tout

Maintenant, c'est une ville d'antan Des repères perdus dans des parkings dans la ville que j'appelle chez moi

En regardant en arrière, je vois ce qu'était maintenant les autoroutes rampent à travers l'étalement des banlieues

Aussi loin que l'œil peut voir

Et la ville ne vit que dans mes rêves