Voici les paroles de la chanson : Al Olor Del Hogar , artiste : Bersuit Vergarabat Avec traduction
Texte original avec traduction
Bersuit Vergarabat
Mi casa era un abrazo con aromas
Afuera el mar oleaba en adoquines
Por suerte habia chapas que, en la siesta
Hacian que llover o fuera triste…
Y hablo de mi casa, nunca nuestra
Mudándonos de barrio, sin opciones
A la hora de movernos, ¡ qué increíble
Imaginar un mundo en los camiones…
La casa, ningún living, de una pieza
De los despertadores tan temidos
Soñando que, tal vez, quizá no suene
Para ir a mi otra escuela de bandidos…
Jamás podré elogiar mi pobreza
Tan sólo es el cristal de mi pasado
Que suena, como copa, en esta noche
Y abraza con su vino destapado…
Mi hermano heredándome la pilcha
Aquella que vistió también a un primo
Así que fue que aprendimos el secreto
De compartir los parches y el camino…
El carnaval y el tango fueron cuna
Mi vieja me cantó «Duerme, negrito»
Y en mi segundo hogar, el Gallinero
Mi viejo me soñó como Angelito…
(Estribillo)
Jamás podré elogiar a mi pobreza
Tan sólo es el cristal de mi pasado
Que suena, como copa, en esta noche
Y abraza con su vino destapado…
Ma maison était un câlin aux arômes
Dehors la mer ondulait sur les pavés
Heureusement il y avait des assiettes qui, à la sieste
Ils ont fait pleuvoir ou c'était triste...
Et je parle de ma maison, jamais la nôtre
Sortir du quartier, sans options
Quand il s'agit de déménager, quelle incroyable
Imaginez un monde en camions…
La maison, sans salon, dans une pièce
Des redoutables réveils
Rêver que, peut-être, peut-être que ça ne sonnera pas
Pour aller dans mon autre école de bandits…
Je ne pourrai jamais louer ma pauvreté
C'est juste le verre de mon passé
Cela sonne, comme une boisson, cette nuit
Et il embrasse avec son vin découvert…
Mon frère hérite de la pilcha
Celui qui a aussi habillé une cousine
C'est ainsi que nous avons appris le secret
Pour partager les patchs et la route…
Le carnaval et le tango ont été le berceau
Ma vieille dame m'a chanté "Dors petit noir"
Et dans ma deuxième maison, le Poulailler
Mon vieil homme rêvait de moi en Angelito…
(Refrain)
Je ne pourrai jamais louer ma pauvreté
C'est juste le verre de mon passé
Cela sonne, comme une boisson, cette nuit
Et il embrasse avec son vin découvert…
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes