Fire Line - Billy Strings

It’s a careless wind that carries me, across the great divide

From the wretched underworld, to the place where fear resides

Behind the line you hold, you can only hold so long

When you see my forky tongue, and you hear my twisted song

My sign is the fire line, uncontrolled

My bitter ruthlessness is a beacon to behold

Like cancer grow on, someday to die

Where the water’s flowing, I’m gonna drain th river dry

It’s a poison dream

Keeps me running through th night

I’ll take it on, then some more

By the dawning of the sickly morning light

Burn through the midnight oil, and the bridges I can’t cross

Somehow I find myself in everything you’ve lost

We’ve seen it all before, but it comes as no surprise

Just like reflections of the fire in your eyes

It’s a poison dream

Keeps me running through the night

I’ll take it on, then some more

By the dawning of the sickly morning light

And when the work is done and the Devil’s called his time

You’ll feel a stale breeze, blow through ash and pine

And you may ask yourself, «Where did the endgame lie?»

A question I might ask if I could stop to wonder why

C'est un vent insouciant qui me porte, à travers le grand fossé

Du monde souterrain misérable à l'endroit où réside la peur

Derrière la ligne que tu tiens, tu ne peux tenir qu'aussi longtemps

Quand tu vois ma langue fourchue et que tu entends ma chanson tordue

Mon signe est la ligne de feu, incontrôlée

Ma cruauté amère est un phare à voir

Comme le cancer se développe, un jour pour mourir

Là où l'eau coule, je vais assécher la rivière

C'est un rêve empoisonné

Me fait courir toute la nuit

Je vais m'en occuper, puis encore un peu

À l'aube de la lumière maladive du matin

Brûle à travers l'huile de minuit et les ponts que je ne peux pas traverser

D'une manière ou d'une autre, je me retrouve dans tout ce que tu as perdu

Nous avons déjà tout vu, mais ce n'est pas une surprise

Tout comme les reflets du feu dans tes yeux

C'est un rêve empoisonné

Me fait courir toute la nuit

Je vais m'en occuper, puis encore un peu

À l'aube de la lumière maladive du matin

Et quand le travail est terminé et que le diable a appelé son heure

Vous sentirez une brise vicié souffler à travers les cendres et les pins

Et vous pouvez vous demander : « Où est passée la fin du jeu ? »

Une question que je pourrais poser si je pouvais m'arrêter pour me demander pourquoi