Theater - Bizzy Montana

Alles Maskerade, alles nichts als Schatten in dem Biz

Wenn der Vorhang fällt kommt irgendwann die Wahrheit an das Licht

Das Theaterspielen bricht auch Komparsen das Genick

Alles nicht echt, alles nur Theater und sonst nichts

Mann, ganz egal ob irgendwer auf irgendeiner Seite is'

Die Scheiße ist: Jeder redet von irgendwelchen Dingen, doch er weiß sie nicht

Ihr Pfeifen seid so peinlich, doch begreift es nich'

Dass eure Sicht der Dinge eigentlich nicht mehr als ein riesen Haufen Scheiße

is'

Geblendet und Benebelt von der Illusion der Glitzerwelt

Verschwenden sie ihr Leben mit Gerede;

kostet nicht mal Geld

Ihr Vögel ähnelt wirklich diesen Tauben auf’m Dach

Nur auf’m Pausenhof am penn', als wär'n die Augen ausgekratzt

Ich gab schon immer ein Dreck auf alles;

alles ist doch Latte

Doch ein Wort sagt alles aus;

ich brauch nicht pausenlos zu quatschen

Sie verkaufen ihr’n Charakter, kaufen Autos, essen Pasta

Hinter goldenen Fassaden liegt ein gottverlass’ner Parkplatz

Ich mach Party auf’m Schrottplatz mit 'ner Bifi und 'nem Vodka

Meine Feinde ziehen Leine, ich alleine meinen Koffer

Is' in Ordnung;

leben und Leben lassen, macht was ihr wollt, denn

Mir ist Stolz und Ehre wichtiger als Taschen voller Gold

Alles Maskerade, alles nichts als Schatten in dem Biz

Wenn der Vorhang fällt kommt irgendwann die Wahrheit an das Licht

Das Theaterspielen bricht auch Komparsen das Genick

Alles nicht echt, alles nur Theater und sonst nichts

Blitzlicht von Kameras sind toll, doch schöne Bilder sind nichts wert

Der Weg hinter die Augen schwer und auf den Bilder versperrt

Alles gestellt und verzerrt

Wie 'ne Gitarre in der Hookline

Bitte grinsen, denn sonst richten sie 'ne Knarre auf dein Brustbein

Aber jeder weiß bescheid: Ist weiß schon gut, ich will kein Aufstand machen

Quatschen fällt dir leichter, als im Unterricht mal aufzupassen

Schnauze halten;

manchmal wär es besser einfach nichts zu sagen

Manchmal denk ich drüber nach euch einfach ins Gesicht zu schlagen

Alles Bullshit, aber wenn der Hass dich erst entdeckt hat

Wirst du durch den Dreck gezogen von der Klatschpressengesellschaft

Wenn du Geld hast wird es schwer;

wer gewinnt;

wer hat mehr?

Ich such Stille, fliege leise mit dem Wind übers Meer

Ich hör nicht hin, lass mich nicht täuschen

Ihr spielt Karten mit dem Teufel

In den Köpfen ist es dunkel, doch die Straßen sind beleuchtet

Kümmert euch um was ihr wollt, ihr könnt auch meine Hemden dreckig machen

Eure Sache, dennoch werd' ich keine fremde Wäsche waschen

Alles Maskerade, alles nichts als Schatten in dem Biz

Wenn der Vorhang fällt kommt irgendwann die Wahrheit an das Licht

Das Theaterspielen bricht auch Komparsen das Genick

Alles nicht echt, alles nur Theater und sonst nichts

Toute la mascarade, tout rien que des ombres dans le biz

Quand le rideau tombe, la vérité finit par éclater

Jouer au théâtre casse aussi le cou des figurants

Rien de réel, juste du théâtre et rien d'autre

Mec, peu importe si quelqu'un est sur n'importe quelle page

La merde c'est : tout le monde parle de choses, mais ils ne les connaissent pas

Tes sifflets sont si embarrassants, mais je ne comprends pas

Que ta vision des choses n'est en fait rien d'autre qu'un énorme tas de merde

est

Ébloui et étourdi par l'illusion du monde scintillant

Gaspillez votre vie en bavardage;

ne coûte même pas d'argent

Vous les oiseaux ressemblez vraiment à ces pigeons sur le toit

Ne dormant que dans la cour de récréation comme si tes yeux étaient rayés

Je me suis toujours foutu de tout;

tout est latté

Mais un mot dit tout;

Je n'ai pas besoin de discuter sans arrêt

Ils vendent leurs personnages, achètent des voitures, mangent des pâtes

Derrière les façades dorées se cache un parking abandonné

J'fais la fête à la casse avec un bifi et une vodka

Mes ennemis tirent en laisse, moi seul tire ma valise

C'est bon ;

vis et laisse vivre, fais ce que tu veux, car

Je privilégie la fierté et l'honneur aux poches d'or

Toute la mascarade, tout rien que des ombres dans le biz

Quand le rideau tombe, la vérité finit par éclater

Jouer au théâtre casse aussi le cou des figurants

Rien de réel, juste du théâtre et rien d'autre

Les flashs d'appareil photo sont géniaux, mais les jolies images ne valent rien

Le chemin derrière les yeux est difficile et bloqué sur les photos

Tout est posé et déformé

Comme une guitare dans la ligne de crochet

S'il vous plaît, souriez, sinon ils pointeront une arme sur votre sternum

Mais tout le monde sait : c'est bon, je ne veux pas faire d'histoires

Vous trouvez qu'il est plus facile de discuter que d'être attentif en classe

Fermez-la;

parfois il vaudrait mieux ne rien dire

Parfois je pense juste à te frapper au visage

Toutes des conneries, mais une fois que la haine t'a découvert

Êtes-vous traîné dans la boue par la société tabloïd

Quand vous avez de l'argent, cela devient difficile ;

qui gagne;

qui a plus

Je cherche le silence, vole tranquillement avec le vent au-dessus de la mer

Je n'écoute pas, ne sois pas dupe

Tu joues aux cartes avec le diable

Il fait sombre dans les têtes, mais les rues sont éclairées

Fais attention à ce que tu veux, tu peux aussi salir mes chemises

C'est ton affaire, mais je ne laverai pas le linge de quelqu'un d'autre

Toute la mascarade, tout rien que des ombres dans le biz

Quand le rideau tombe, la vérité finit par éclater

Jouer au théâtre casse aussi le cou des figurants

Rien de réel, juste du théâtre et rien d'autre