All American Boy - Bobby Bare

Gather 'round cats and I’ll tell you a story

'bout how to become an all-American Boy.

Just buy you a guitar and put it in tune

And you’ll be a rockin and a rollin soon.

Impressin the girls, hittin hot licks, and all that jazz.

I bought me a guitar about a year ago and I Learned how to play it in a day or so.

And all around town it was well understood

That I was knocking 'em out like Johnny B. Goode.

Hot licks, showing off, ah, number one.

Well I practiced all day and up into the night,

My papa’s hair was a gettin kinda white.

He didn’t dig that, ah, rock and roll.

He said, «You can stay boy, but that’s gotta go.»

He’s a square;

just didn’t dig me at all.

So I packed my guitar, picks and all, and I said farewll to my poor old pa.

I split for Memphis where they say 'you all'

And them swinging cats are a havin a ball.

Yeah, they love me down there, guitar picks and all.

I was rocking and bopping and getting all the breaks,

And the girls all said that I had what it takes,

When up steps a man with a big cigar.

He said.

«Come here, kid.

I’m gonna make you a star.»

Put you on «Bandstand', buy you a cadillac.

Sign here, kid.»

So I signed my name and became a star, having a ball with my guitar.

Driving a big, long cadillac.

And fighting the girls off’n my back.

But they just keep a comin, screaming, they love it.

So I picked my guitar with a great big grin

And the money just kept on rollin in.

And then one day my Uncle Sam said (thump, thump, thump) «here I am!

Uncle Sam needs you, boy.

Gimme that guitar.

Take this rifle.

Yeahhhh — gonna

cut your hair off….

A letter from Don Powell

Most of your lyrics are on the money — I merely cleared up a few that you

Apparently couldn’t distinguish from the record.

I backed Bobby with guitar on the original cut for All American Boy.

I was playing in R&R band in Dayton,

Ohio when one night Bobby and his manager showed up.

They had a few beers,

introduced themselves on a break and asked if we would be interested in backing Bobby on a novelty song about Elvis being drafted into the army.

We practiced the song the next day, a Sunday, drove to Cincinatti on Monday,

and cut the record in King Studios there.

The third try was a take and became

the song which became a hit.

The band was given the option of taking a percentage of record sales, assuming it could be marketed and did well;

or we could receive 'session fee', which was about $ 35.00/person.

without exception the band members (all five of us) took the $ 35.00.

You can imagine our surprise (and delight) to hear the song being played on the radio all over Ohio and the whole midwest.

The reason for the confusion re Bobby’s name not appearing on the Fraternity

label, who bought pressing and distribution rights, was that two weeks prior to the recording, Bobby, ironically, had been drafted and knew that he would not

be able to promote the song by touring or personal appearances.

His best friend,

Bill Parsons, was allowed to assume Bobby’s role, and Bill actually did record

the flip side of AAB with a jazzed up version of Rubber Dolly.

When the record

hit, Bobby was in boot camp in the army, and I and the band (now called the «All American Boys») went on tour of the midwest with Bill Parsons,

playing at small to medium venues in clubs and auditoriums from Detroit to St.

Louis.

But it could not be pulled off.

Bill Parsons was no Bobby Bare and the

we soon faded back into obscurity, playing at neighborhood bars in Dayton, Ohio.

Bobby was a true-born, gifted singer and songwriter with the magic ability to be at one with an audience.

He was truly one of a kind.

I will be happy to share any experiences and anecdotes re Bobby with you should

you desire.

DGP

Rassemblez des chats et je vous raconterai une histoire

'comment devenir un All-American Boy.

Il suffit de t'acheter une guitare et de la mettre en accord

Et vous serez un rockin et un rollin bientôt.

Impressionner les filles, frapper des coups de langue chauds et tout ce jazz.

Je m'ai acheté une guitare il y a environ un an et j'ai appris à en jouer en un jour ou deux.

Et dans toute la ville, c'était bien compris

Que je les assommais comme Johnny B. Goode.

Coups de langue chauds, exhib, ah, numéro un.

Eh bien, j'ai pratiqué toute la journée et jusque tard dans la nuit,

Les cheveux de mon papa devenaient un peu blancs.

Il n'a pas creusé ça, ah, rock and roll.

Il a dit : "Tu peux rester garçon, mais ça doit partir."

C'est un carré ;

ne m'a tout simplement pas creusé du tout.

Alors j'ai emballé ma guitare, mes médiators et tout, et j'ai dit adieu à mon pauvre vieux papa.

Je me suis séparé pour Memphis où ils disent "vous tous"

Et ces chats qui se balancent sont un havin a ball.

Ouais, ils m'adorent là-bas, les médiators et tout.

Je me balançais et sautais et j'obtenais toutes les pauses,

Et les filles ont toutes dit que j'avais ce qu'il fallait,

Lorsqu'il se lève, un homme avec un gros cigare.

Il a dit.

« Viens ici, petit.

Je vais faire de toi une star."

Mettez-vous sur "Bandstand", achetez-vous une cadillac.

Signez ici, gamin.

Alors j'ai signé mon nom et je suis devenu une star en m'amusant avec ma guitare.

Conduire une grande et longue Cadillac.

Et combattre les filles dans mon dos.

Mais ils n'arrêtent pas de crier, ils adorent ça.

Alors j'ai choisi ma guitare avec un grand sourire

Et l'argent n'arrêtait pas d'affluer.

Et puis un jour, mon oncle Sam a dit (thump, thump, thump) « me voici !

L'Oncle Sam a besoin de toi, mon garçon.

Donne-moi cette guitare.

Prenez ce fusil.

Yeahhh - va

coupe tes cheveux....

Une lettre de Don Powell

La plupart de vos paroles sont sur l'argent - j'ai simplement clarifié quelques-uns que vous

Apparemment, impossible de faire la distinction avec l'enregistrement.

J'ai accompagné Bobby à la guitare sur le morceau original d'All American Boy.

Je jouais dans le groupe R&R à Dayton,

Ohio quand un soir Bobby et son manager se sont présentés.

Ils ont bu quelques bières,

se sont présentés lors d'une pause et ont demandé si nous serions intéressés à soutenir Bobby sur une nouvelle chanson sur l'enrôlement d'Elvis dans l'armée.

Nous avons pratiqué la chanson le lendemain, un dimanche, sommes allés à Cincinatti le lundi,

et enregistrer le disque dans King Studios là-bas.

Le troisième essai était une prise et est devenu

la chanson qui est devenue un tube.

Le groupe a eu la possibilité de prendre un pourcentage des ventes de disques, en supposant qu'il pourrait être commercialisé et qu'il fonctionnait bien ;

ou nous pourrions recevoir des "frais de session", qui étaient d'environ 35,00 $/personne.

sans exception, les membres du groupe (nous cinq) ont pris les 35,00 $.

Vous pouvez imaginer notre surprise (et notre plaisir) d'entendre la chanson diffusée à la radio dans tout l'Ohio et dans tout le Midwest.

La raison de la confusion concernant le nom de Bobby n'apparaissant pas sur la Fraternité

label, qui a acheté les droits de pressage et de distribution, était que deux semaines avant l'enregistrement, Bobby, ironiquement, avait été rédigé et savait qu'il ne le ferait pas

pouvoir promouvoir la chanson par des tournées ou des apparitions personnelles.

Son meilleur ami,

Bill Parsons, a été autorisé à assumer le rôle de Bobby, et Bill a en fait enregistré

le revers d'AAB avec une version jazzée de Rubber Dolly.

Quand le dossier

hit, Bobby était dans un camp d'entraînement dans l'armée, et moi et le groupe (maintenant appelé les «All American Boys») avons fait une tournée dans le Midwest avec Bill Parsons,

jouer dans des petites et moyennes salles dans des clubs et des auditoriums de Detroit à St.

Louis.

Mais cela n'a pas pu être retiré.

Bill Parsons n'était pas Bobby Bare et le

nous sommes rapidement retombés dans l'obscurité, jouant dans des bars de quartier à Dayton, Ohio.

Bobby était un vrai chanteur et auteur-compositeur doué avec la capacité magique de ne faire qu'un avec un public.

Il était vraiment unique en son genre.

Je serai heureux de partager toutes les expériences et anecdotes sur Bobby avec vous si

tu désires.

DGP