Stayed Too Long At The Fair - Bonnie Raitt

Jesus cried, wept and died

I guess He went up to heaven I’ve been downtown such a long, long time

I’ll never make it home by seven

Won’t you come & take me home

I’ve been too long at the fair

And, Lord, I just can’t stand it anymore Well I went down to Chason’s

Walked 'til my feet got sore

I never knew what laughin' was’Til you walked out the door

Won’t you come and take me home

I’ve been too long at the fair

And, Lord, I just can’t stand it anymore Well, you can give my soul to Abraham

Give my soul to Saul

Give my bones to Canada

My feet they don’t hurt at all I don’t know who made the highway

I guess that’s just my pride

But I have heard the Prince of Darkness

On his charger ride The silver blade is gleamin’The scales are in his hands

I swear another night is fallin', Don’t you lose another man

Won’t you come and take me home

I’ve been too long at the fair

And, Lord, I just can’t stand it anymore

Jésus a pleuré, pleuré et est mort

Je suppose qu'il est monté au paradis Je suis au centre-ville depuis si longtemps

Je ne rentrerai jamais à la maison à sept heures

Ne veux-tu pas venir me ramener à la maison ?

J'ai passé trop de temps à la foire

Et, Seigneur, je ne peux plus le supporter, bien je suis descendu chez Chason

J'ai marché jusqu'à ce que mes pieds me fassent mal

Je n'ai jamais su ce qu'était le rire jusqu'à ce que tu franchisses la porte

Ne veux-tu pas venir me ramener à la maison ?

J'ai passé trop de temps à la foire

Et, Seigneur, je ne peux plus le supporter Eh bien, tu peux donner mon âme à Abraham

Donne mon âme à Saul

Donne mes os au Canada

Mes pieds ne me font pas mal du tout, je ne sais pas qui a fait l'autoroute

Je suppose que c'est juste ma fierté

Mais j'ai entendu le Prince des Ténèbres

Sur son trajet en chargeur, la lame d'argent brille, la balance est entre ses mains

Je jure qu'une autre nuit tombe, ne perdez-vous pas un autre homme

Ne veux-tu pas venir me ramener à la maison ?

J'ai passé trop de temps à la foire

Et, Seigneur, je ne peux plus le supporter