Hazel Eyes - Bowerbirds

Counting the ripples on the morning lake

No space, no time, no state

And this, the mirror to the weight in my eyes

But the water is not revealing till the feelings multiply

And you’ll never have to leave

You’ll never have to leave

You’ll never have to leave, you’ll never have to leave

Till the wind, like kisses, blows you back to me

Was I a patient or addled child?

With the wide hazel eyes

I remember such magical times

But the memory’s not revealing till it’s fully revised

And you’ll never have to leave

You’ll never have to leave

You’ll never have to leave, you’ll never have to leave

Till the wind, like kisses, blows you back to me

Now I’ve spent days like a pawn, days like a queen

And I still don’t know what works for me

As the world burns sideways and upways and down

The band plays on and I’m still here somehow

And you’ll never have to leave

You’ll never have to leave

You’ll never have to leave, you’ll never have to leave

Till the wind, like kisses, blows you back to me

Counting the ripples on the morning lake

No space, no time, no state

Compter les ondulations sur le lac du matin

Pas d'espace, pas de temps, pas d'état

Et ça, le miroir du poids dans mes yeux

Mais l'eau n'est pas révélatrice jusqu'à ce que les sentiments se multiplient

Et vous n'aurez jamais à partir

Vous n'aurez jamais à partir

Vous n'aurez jamais à partir, vous n'aurez jamais à partir

Jusqu'à ce que le vent, comme des baisers, te renvoie vers moi

Étais-je un patient ou un enfant ?

Aux grands yeux noisette

Je me souviens de ces moments magiques

Mais la mémoire n'est pas révélatrice tant qu'elle n'est pas entièrement révisée

Et vous n'aurez jamais à partir

Vous n'aurez jamais à partir

Vous n'aurez jamais à partir, vous n'aurez jamais à partir

Jusqu'à ce que le vent, comme des baisers, te renvoie vers moi

Maintenant j'ai passé des jours comme un pion, des jours comme une reine

Et je ne sais toujours pas ce qui fonctionne pour moi

Alors que le monde brûle de côté et de haut en bas

Le groupe joue et je suis toujours là d'une manière ou d'une autre

Et vous n'aurez jamais à partir

Vous n'aurez jamais à partir

Vous n'aurez jamais à partir, vous n'aurez jamais à partir

Jusqu'à ce que le vent, comme des baisers, te renvoie vers moi

Compter les ondulations sur le lac du matin

Pas d'espace, pas de temps, pas d'état