Nell Flaherty's Drake - Burl Ives

Oh my name it is Nell and the truth for to tell

I come from Cootehill which I’ll never deny

I had a fine drake and I’d die for his sake

That me grandmother left me and she goin' to die

The dear little fellow his legs they were yellow

He could fly like a swallow or swim like a hake

Till some dirty savage to grease his white cabbage

Most wantonly murdered me beautiful drake

Now his neck it was green almost fit to be seen

He was fit for a queen of the highest degree

His body was white, and it would you delight

He was plump, fat, and heavy and brisk as a bee

He was wholesome and sound, he would weigh twenty pound

And the universe round I would roam for his sake

Bad luck to the robber be he drunk or sober

That murdered Nell Flaherty’s beautiful drake

May his spade never dig, may his sow never pig

May each hair in his wig be well trashed with the flail

My his door never latch, may his roof have no thatch

May his turkeys not hatch, may the rats eat his meal

May every old fairy from Cork to Dun Laoghaire

Dip him snug and airy in river or lake

That the eel and the trout they may dine on the snout

Of the monster that murdered Nell Flaherty’s drake

May his pig never grunt, may his cat never hunt

May a ghost ever haunt him the dead of the night

May his hens never lay, may his horse never neigh

May his coat fly away like an old paper kite

That the flies and the fleas may the wretch ever tease

May the piercin' March breeze make him shiver and shake

May a lump of the stick raise the bumps fast and quick

On the monster that murdered Nell Flaherty’s drake

Well the only good news that I have to infuse

Is that old Paddy Hughes and young Anthony Blake

Also Johnny Dwyer and Corney Maguire

They each have a grandson of my darlin' drake

May treasure have dozens of nephews and cousins

And one I must get or me heart it will break

For to set me mind easy or else I’ll run crazy

So ends the whole song of Nell Flaherty’s drake

Oh mon nom c'est Nell et la vérité à dire

Je viens de Cootehill, ce que je ne nierai jamais

J'avais un beau drake et je mourrais pour lui

Que ma grand-mère m'a quitté et qu'elle va mourir

Le cher petit bonhomme ses jambes elles étaient jaunes

Il pouvait voler comme une hirondelle ou nager comme un merlu

Jusqu'à ce qu'un sale sauvage graisse son chou blanc

La plupart m'ont assassiné sans raison, beau drake

Maintenant, son cou était vert, presque digne d'être vu

Il était digne d'une reine du plus haut degré

Son corps était blanc, et ça te ferait plaisir

Il était dodu, gros, lourd et vif comme une abeille

Il était sain et sain, il pesait vingt livres

Et l'univers autour duquel j'errerais pour lui

Pas de chance pour le voleur, qu'il soit ivre ou sobre

Qui a assassiné le beau drake de Nell Flaherty

Que sa bêche ne creuse jamais, que sa truie ne cochonne jamais

Que chaque cheveu de sa perruque soit bien saccagé avec le fléau

Ma porte ne se verrouille jamais, que son toit n'ait pas de chaume

Que ses dindes n'éclosent pas, que les rats mangent son repas

Que chaque vieille fée de Cork à Dun Laoghaire

Trempez-le confortablement et aéré dans une rivière ou un lac

Que l'anguille et la truite qu'ils peuvent dîner sur le museau

Du monstre qui a assassiné le drake de Nell Flaherty

Que son cochon ne grogne jamais, que son chat ne chasse jamais

Puisse un fantôme le hanter jusqu'aux morts de la nuit

Que ses poules ne pondent jamais, que son cheval ne hennisse jamais

Que son manteau s'envole comme un vieux cerf-volant en papier

Que les mouches et les puces puissent toujours taquiner le misérable

Que la brise perçante de mars le fasse frissonner et trembler

Puisse un morceau de bâton soulever les bosses rapidement et rapidement

Sur le monstre qui a assassiné le drake de Nell Flaherty

Eh bien, la seule bonne nouvelle que je dois infuser

Est-ce que le vieux Paddy Hughes et le jeune Anthony Blake

Aussi Johnny Dwyer et Corney Maguire

Ils ont chacun un petit-fils de mon drake chéri

Le trésor peut avoir des dizaines de neveux et de cousins

Et celui que je dois avoir ou mon cœur va se briser

Pour m'apaiser ou sinon je vais devenir fou

Ainsi se termine toute la chanson du drake de Nell Flaherty