Too Heavy for Cherubs - Cage

A cold day in hell I feel good

At least I feel as good as real feels if real even feels good

I think back to being a kid and getting my ass kicked

And when I sold my soul to the devil to make me rap sick

Page from cage’s brain, angels dust off the un-godly

Riding through my child-hood to hear my six-year old body

Black-out for second, pick my head up off the street

Little kid handle my face-its not me in the driver seat

Father comes out screaming drops the cigarettes and lighter

Scoops me up with his left arm his right fist snuffed the driver

Takes me in the house stops the blood from wandering out

Is this a dream or time travel?

I ponder on the couch

Walks in with a black bag

Wrap my rubber snake around his arm and made me pull it tight

Hit himself with a spike

Drew blood and pulled his mask down

My hands blue until he let my arm go and he passed out

Erratic then gone, I go from manic to calm

Watching the yellow liquid dripping back out of his arm

No automatic alarm sounded

Trying to wrap my six year old brain around it

Went in his pockets took his money and couldn’t count it

Went to the front door buts it locked observe it

Pulled up a chair to reach the dead bolt

But I’m too weak to turn it

Give it another try my little eye still scoping him

Now I pan the room and see my escape in the open window

Scurry the floor

Climb out hang then drop into the snow and

My captor snatches me back up

Pulls me back into hell

Starts shaking me to weaken me

To teachin me to be a man by repeatedly beatin me

I hope I grow up before I’m finished being strangled

I black out then wake up tied to the coffee table

With a jump rope cable to my ankle so I can’t run

He walks back in the room

Une journée froide en enfer, je me sens bien

Au moins, je me sens aussi bien que le vrai se sent si le vrai se sent même bien

Je repense à être un enfant et à me faire botter le cul

Et quand j'ai vendu mon âme au diable pour me rendre malade

Page du cerveau de la cage, les anges dépoussièrent les impies

Traverser mon enfance pour entendre mon corps de six ans

Black-out pour la seconde, prends ma tête dans la rue

Petit enfant manipule mon visage, ce n'est pas moi dans le siège du conducteur

Père sort en criant laisse tomber les cigarettes et le briquet

Me ramasse avec son bras gauche, son poing droit a étouffé le conducteur

M'emmène dans la maison, empêche le sang de s'échapper

Est-ce un rêve ou un voyage dans le temps ?

Je réfléchis sur le canapé

Entre avec un sac noir

Enroule mon serpent en caoutchouc autour de son bras et m'oblige à le serrer

Se frapper avec un pic

A fait couler du sang et a baissé son masque

Mes mains bleues jusqu'à ce qu'il lâche mon bras et qu'il s'évanouisse

Erratique puis parti, je passe de maniaque à calme

Regarder le liquide jaune s'écouler de son bras

Aucune alarme automatique ne s'est déclenchée

Essayer d'envelopper mon cerveau de six ans autour de ça

Est allé dans ses poches, a pris son argent et n'a pas pu le compter

Je suis allé à la porte d'entrée mais elle est verrouillée, observez-la

J'ai tiré une chaise pour atteindre le pêne dormant

Mais je suis trop faible pour le transformer

Donnez-lui un autre essai, mon petit œil le fixe toujours

Maintenant, je fais un panoramique de la pièce et je vois ma fuite par la fenêtre ouverte

Scurry le sol

Montez pendre puis laissez tomber dans la neige et

Mon ravisseur me rattrape

Me ramène en enfer

Commence à me secouer pour m'affaiblir

Pour m'apprendre à être un homme en me battant à plusieurs reprises

J'espère que je grandirai avant d'avoir fini d'être étranglé

Je m'évanouis puis me réveille attaché à la table basse

Avec un câble de corde à sauter à ma cheville pour que je ne puisse pas courir

Il revient dans la pièce