Le strade - Celtas Cortos, Nomadi
С переводом

Le strade - Celtas Cortos, Nomadi

  • Альбом: Nos Vemos En Los Bares

  • Год: 1989
  • Язык: italien
  • Длительность: 5:14

Voici les paroles de la chanson : Le strade , artiste : Celtas Cortos, Nomadi Avec traduction

Paroles : Le strade "

Texte original avec traduction

Le strade

Celtas Cortos, Nomadi

Оригинальный текст

La terra fertile e grassa non rende più

Mentre tra quelle colline, il sole va giù

Tra sprazzi di cielo annoiato, sopra ai canali

La nebbia confonde e crea giorni uguali

Si agitano gli alberi al vento e muoion le foglie

Delle stagioni ora il tempo non marca le soglie

Ma c'è un odore di terra, odore lontano

Che ci riporta ad un mondo più umano…

Ma quelle strade che conducono agli orti

Conservano ancora intatti altri volti

Quelli di gente che non ha avuto niente

E che ancora lotta e lotterà per sempre

Dietro al mulino, i rifiuti portati dal fiume

Che taglia la grande pianura, ridotta a bitume

Mentre il tempo passato non ha dato traccia

Il gelido vento che arriva, ti sferza la faccia

Il cuore della campagna batte ormai stanco

Stanco di troppe parole date in pasto al branco

Ma c'è un odore di terra, odore lontano

Che ci riporta ad un mondo più umano…

Ma quelle strade che conducono agli orti

Conservano ancora intatti altri volti

Quelli di gente che non ha avuto niente

E che ancora lotta e lotterà per sempre…

Перевод песни

La terre fertile et grasse ne paie plus

Alors que dans ces collines, le soleil se couche

Entre les éclairs du ciel ennuyé, au-dessus des canaux

Le brouillard confond et crée des jours égaux

Les arbres tremblent dans le vent et les feuilles meurent

Le temps ne marque pas les seuils des saisons

Mais il y a une odeur terreuse, une odeur lointaine

Ce qui nous ramène à un monde plus humain...

Mais ces routes qui mènent aux potagers

Ils ont encore d'autres visages intacts

Ceux des gens qui n'ont rien eu

Et qui lutte encore et se battra pour toujours

Derrière le moulin, les déchets charriés par la rivière

Qui coupe la grande plaine, réduite en bitume

Alors que le passé n'a laissé aucune trace

Le vent froid qui vient fouette ton visage

Le cœur de la campagne bat maintenant fatigué

Fatigué de trop de mots nourris au pack

Mais il y a une odeur terreuse, une odeur lointaine

Ce qui nous ramène à un monde plus humain...

Mais ces routes qui mènent aux potagers

Ils ont encore d'autres visages intacts

Ceux des gens qui n'ont rien eu

Et qui lutte encore et se battra pour toujours...

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