Шарики - ChipaChip

Где моё проё*ано солнце, никто не в курсе;

даже я сам,

Но стала так ужасать эта приевшаяся нам шиза.

И руки наши за, легализа, мир без воин

Чтоб недозволено было брать и *издить что ты свой.

Остановить врядли нас вовремя, теряем звон

Потом тупо звоним, дышим тоской, и не слышим три слова.

Три драгоценных слова, снова в дне этом на злобу

Соло кого-нибудь злого, кто продолжает щас лопать

Шарики, воздушные шарики, летящие вверх

Когда глаза ещё не меркнут, чаще смотришь в зеркало;

И веришь там во всех кого, палил впервые здесь.

И помнишь как ловил плюс, мямлив так тупо на минус текст.

Старый подъезд да и двор опустел и замело снегом,

А мне идти как и крутить лишний басс некуда.

И я ещё верю любовь один раз навсегда.

Мне 18, нам сюда, кричат, тебя уносит вдаль.

Припев:

Моё проё*аное солнце, и я опять потерян в облаках;

И если мы сюда вернёмся, то только лишь лицами на плакат.

Моё проё*аное солнце, и я опять потерян в облаках;

И если мы сюда вернёмся, то только лишь лицами на плакат.

В моём весьма незамысловатом мирке

Была весна, когда слова там тают снегом в руке.

Когда устал, но бегу, за спину спрятав букет.

Когда места для двоих, рядом, как буквы «А» и «Б» в азбуке.

Эта ракета быстро стлеет, мы повзрослеем.

Потом станем злее, забыв что у друг друга последние.

Планировали быть когда-то, как года на даты

Режут последние шансы веру, что будет пиз*ато.

Я не прощался б ни с кем никогда, бы

В жёлтый октябрь, чтобы в майк снова сыпались капы.

Пока за окнами капает, листья падают,

Нам пак дают, он кончится апатия на память.

Юг, птицы уже летят к тебе, пока мысли на север.

Забыты всеми.

В массиве сером нету спасенья.

И как-то стрёмно, чтоли малость, опять, перед всёми,

Что я снова грустный в такое солнечное воскресенье.

Припев:

Моё проё*аное солнце, и я опять потерян в облаках;

И если мы сюда вернёмся, то только лишь лицами на плакат.

Моё проё*аное солнце, и я опять потерян в облаках;

И если мы сюда вернёмся, то только лишь лицами на плакат.

Où est mon putain de soleil, personne ne le sait ;

même moi-même

Mais ce shiza qui nous est devenu si ennuyeux est devenu si terrifiant.

Et nos mains sont pour la légalisation, un monde sans guerriers

Alors qu'il n'était pas permis de prendre et de * publier que vous êtes à vous.

Il est peu probable qu'il nous arrête à temps, nous perdons la sonnerie

Ensuite, nous appelons bêtement, respirons le désir et n'entendons pas trois mots.

Trois mots précieux, encore aujourd'hui par dépit

Solo de quelqu'un de mal qui n'arrête pas d'éclater en ce moment

Ballons, ballons qui s'envolent

Lorsque vos yeux ne sont pas encore décolorés, vous vous regardez souvent dans le miroir ;

Et tu crois en tout le monde là-bas, tu as tiré ici pour la première fois.

Et vous vous souvenez comment vous avez attrapé un plus, marmonnant si bêtement à un texte négatif.

L'ancienne entrée et la cour étaient vides et couvertes de neige,

Et je n'ai nulle part où aller et tourner la basse supplémentaire.

Et je crois toujours à l'amour une fois pour toutes.

J'ai 18 ans, on est là, ils crient, tu t'emportes.

Refrain:

Mon putain de soleil, et je suis encore perdu dans les nuages ​​;

Et si nous revenons ici, alors seulement avec des visages sur l'affiche.

Mon putain de soleil, et je suis encore perdu dans les nuages ​​;

Et si nous revenons ici, alors seulement avec des visages sur l'affiche.

Dans mon monde très simple

C'était le printemps, quand les mots y fondaient avec de la neige dans la main.

Quand je suis fatigué, je cours en cachant le bouquet derrière mon dos.

Quand il y a des places pour deux, côte à côte, comme les lettres "A" et "B" dans l'alphabet.

Cette fusée vole vite, nous allons grandir.

Ensuite, nous deviendrons plus en colère, oubliant que l'autre a le dernier.

Prévu pour être une fois, comme des années sur les dates

Ils coupent les dernières chances de foi qu'il y aura piz*ato.

Je ne dirais jamais au revoir à personne,

En octobre jaune, pour que les casquettes tombent à nouveau sur Mike.

Pendant qu'il ruisselle par les fenêtres, les feuilles tombent,

Ils nous donnent un pack, ça finira par une apathie pour la mémoire.

Au sud, les oiseaux volent déjà vers vous, tandis que les pensées se dirigent vers le nord.

Oublié de tous.

Il n'y a pas de salut dans le tableau gris.

Et en quelque sorte stupide, chtol un peu, encore une fois, devant tout le monde,

Que je suis de nouveau triste par un dimanche si ensoleillé.

Refrain:

Mon putain de soleil, et je suis encore perdu dans les nuages ​​;

Et si nous revenons ici, alors seulement avec des visages sur l'affiche.

Mon putain de soleil, et je suis encore perdu dans les nuages ​​;

Et si nous revenons ici, alors seulement avec des visages sur l'affiche.