Ettrick Forest In November - Cnoc An Tursa
С переводом

Ettrick Forest In November - Cnoc An Tursa

  • Année de sortie: 2014
  • Langue: Anglais
  • Durée: 4:05

Voici les paroles de la chanson : Ettrick Forest In November , artiste : Cnoc An Tursa Avec traduction

Paroles : Ettrick Forest In November "

Texte original avec traduction

Ettrick Forest In November

Cnoc An Tursa

Оригинальный текст

November’s sky is chill and drear,

November’s leaf is red and sear:

Late, gazing down the steepy linn,

That hems our little garden in,

Low in its dark and narrow glen

You scarce the rivulet might ken,

So thick the tangled greenwood grew,

So feeble trill’d the streamlet through:

Now, murmuring hoarse, and frequent seen

Through bush and brier, no longer green,

An angry brook, it sweeps the glade,

Brawls over rock and wild cascade,

And, foaming brown with doubled speed,

Hurries its waters to the Tweed.

No longer Autumn’s glowing red

Upon our Forest hills is shed;

No more beneath the evening beam

Fair Tweed reflects their purple gleam;

Away hath pass’d the heather-bell

That bloom’d so rich on Needpathfell;

Sallow his brow;

and russet bare

Are now the sister-heights of Yair.

The sheep, before the pinching heaven,

To shelter’d dale and down are driven,

Where yet some faded herbage pines,

And yet a watery sunbeam shines:

In meek despondency they eye

The wither’d sward and wintry sky,

And far beneath their summer hill,

Stray sadly by Glenkinnon’s rill:

The shepherd shifts his mantle’s fold,

And wraps him closer from the cold;

His dogs no merry circles wheel,

But shivering follow at his heel;

A cowering glance they often cast,

As deeper moans the gathering blast.

Перевод песни

Le ciel de novembre est froid et morne,

La feuille de novembre est rouge et brûlante :

Tard, regardant le lin escarpé,

Qui enserre notre petit jardin,

Au creux de son vallon sombre et étroit

Vous à peine le ruisseau pourrait ken,

Si épais que le bois vert enchevêtré a poussé,

Tellement faible a trillé le ruisseau à travers :

Maintenant, des murmures rauques et fréquemment vus

À travers les buissons et les bruyères, plus vert,

Un ruisseau en colère, il balaie la clairière,

Des bagarres de roche et de cascade sauvage,

Et, marron moussant à vitesse doublée,

Dépêche ses eaux vers la Tweed.

Fini le rouge éclatant de l'automne

Sur nos collines forestières est éparpillé ;

Plus sous le rayon du soir

Fair Tweed reflète leur éclat violet;

La bruyère est passée

Cette floraison était si riche sur Needpathfell ;

Jaunissez son front ;

et roux nu

Sont maintenant les hauteurs sœurs de Yair.

Les moutons, devant le ciel qui pince,

Vers le val abrité et vers le bas sont conduits,

Où encore quelques pins herbiers fanés,

Et pourtant un rayon de soleil aqueux brille :

Dans un doux découragement, ils regardent

Le gazon flétri et le ciel hivernal,

Et loin sous leur colline d'été,

Égarez-vous tristement près du ruisseau de Glenkinnon :

Le berger change le pli de son manteau,

Et l'enveloppe plus près du froid;

Ses chiens ne font pas de joyeux cercles,

Mais des frissons suivent son talon ;

Un regard tremblant qu'ils jettent souvent,

Alors que gémit plus profondément l'explosion de rassemblement.

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