Voici les paroles de la chanson : Ettrick Forest In November , artiste : Cnoc An Tursa Avec traduction
Texte original avec traduction
Cnoc An Tursa
November’s sky is chill and drear,
November’s leaf is red and sear:
Late, gazing down the steepy linn,
That hems our little garden in,
Low in its dark and narrow glen
You scarce the rivulet might ken,
So thick the tangled greenwood grew,
So feeble trill’d the streamlet through:
Now, murmuring hoarse, and frequent seen
Through bush and brier, no longer green,
An angry brook, it sweeps the glade,
Brawls over rock and wild cascade,
And, foaming brown with doubled speed,
Hurries its waters to the Tweed.
No longer Autumn’s glowing red
Upon our Forest hills is shed;
No more beneath the evening beam
Fair Tweed reflects their purple gleam;
Away hath pass’d the heather-bell
That bloom’d so rich on Needpathfell;
Sallow his brow;
and russet bare
Are now the sister-heights of Yair.
The sheep, before the pinching heaven,
To shelter’d dale and down are driven,
Where yet some faded herbage pines,
And yet a watery sunbeam shines:
In meek despondency they eye
The wither’d sward and wintry sky,
And far beneath their summer hill,
Stray sadly by Glenkinnon’s rill:
The shepherd shifts his mantle’s fold,
And wraps him closer from the cold;
His dogs no merry circles wheel,
But shivering follow at his heel;
A cowering glance they often cast,
As deeper moans the gathering blast.
Le ciel de novembre est froid et morne,
La feuille de novembre est rouge et brûlante :
Tard, regardant le lin escarpé,
Qui enserre notre petit jardin,
Au creux de son vallon sombre et étroit
Vous à peine le ruisseau pourrait ken,
Si épais que le bois vert enchevêtré a poussé,
Tellement faible a trillé le ruisseau à travers :
Maintenant, des murmures rauques et fréquemment vus
À travers les buissons et les bruyères, plus vert,
Un ruisseau en colère, il balaie la clairière,
Des bagarres de roche et de cascade sauvage,
Et, marron moussant à vitesse doublée,
Dépêche ses eaux vers la Tweed.
Fini le rouge éclatant de l'automne
Sur nos collines forestières est éparpillé ;
Plus sous le rayon du soir
Fair Tweed reflète leur éclat violet;
La bruyère est passée
Cette floraison était si riche sur Needpathfell ;
Jaunissez son front ;
et roux nu
Sont maintenant les hauteurs sœurs de Yair.
Les moutons, devant le ciel qui pince,
Vers le val abrité et vers le bas sont conduits,
Où encore quelques pins herbiers fanés,
Et pourtant un rayon de soleil aqueux brille :
Dans un doux découragement, ils regardent
Le gazon flétri et le ciel hivernal,
Et loin sous leur colline d'été,
Égarez-vous tristement près du ruisseau de Glenkinnon :
Le berger change le pli de son manteau,
Et l'enveloppe plus près du froid;
Ses chiens ne font pas de joyeux cercles,
Mais des frissons suivent son talon ;
Un regard tremblant qu'ils jettent souvent,
Alors que gémit plus profondément l'explosion de rassemblement.
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