The Lost Rivers of London - Coil
С переводом

The Lost Rivers of London - Coil

Альбом
Пособие для начинающих: Глас сéребра
Год
2000
Язык
`Anglais`
Длительность
461400

Voici les paroles de la chanson : The Lost Rivers of London , artiste : Coil Avec traduction

Paroles : The Lost Rivers of London "

Texte original avec traduction

The Lost Rivers of London

Coil

Оригинальный текст

I’m gonna drown myself in London’s lost rivers

I will walk down to the rain

From Hubert Montague Crackenthorpe’s Vignettes (1896):

I have sat there and seen the winter days finish their short-spanned lives;

and all the globes of light — crimson, emerald, and pallid yellow — start,

one by one, out of the russet fog that creeps up the river.

But I like the

place best on these hot summer nights, when the sky hangs thick with stifled

colour, and the stars shine small and shyly.

Then the pulse of the city is hushed, and the scales of the water flicker golden and oily under the watching

regiment of lamps.

The bridge clasps its gaunt arms tight from bank to bank, and the shuffle of a retreating figure sounds loud and alone in the quiet.

There, if you wait long

enough, you will hear the long wail of the siren, that seems to tell of the

anguish of London till a train hurries to throttle its dying note,

roaring and rushing, thundering and blazing through the night, tossing its

white crests of smoke, charging across the bridge into the dark country beyond.

In the wan, lingering light of the winter afternoon, the parks stood all

deserted, sluggishly drowsing, so it seemed, with their spacious distances

muffled in greyness: colourless, fabulous, blurred.

One by one, through the

damp misty air, looked the tall, stark, lifeless elms.

Overhead there lowered a turbid sky, heavy-charged with an unclean yellow, and amid their ugly patches

of dank and rotting bracken, a little mare picked her way noiselessly.

The rumour of life seemed hushed.

There was only the vague listless rhythm of the creaking saddle.

The daylight faded.

A shroud of ghostly mist enveloped the earth,

and up from the vaporous distance crept slowly the evening darkness.

A sullen glow throbs overhead: golden will-o'-the-wisps are threading their

shadowy ribbons above golden trees, and the dull, distant rumour of feverish

London waits on the still night air.

The lights of Hyde Park Corner blaze like

some monster, gilded constellation, shaming the dingy stars.

And across the

east, there flares a sky-sign, a gaudy crimson arabesque.

And all the air hangs

draped in the mysterious sumptuous splendour of a murky London night.

I’m gonna drown myself in the lost rivers of London

I am gonna drown myself in the lost rivers of London

Перевод песни

Je vais me noyer dans les rivières perdues de Londres

Je descendrai sous la pluie

Extrait des Vignettes de Hubert Montague Crackenthorpe (1896) :

Je me suis assis là et j'ai vu les jours d'hiver terminer leur courte vie ;

et tous les globes de lumière - cramoisi, émeraude et jaune pâle - commencent,

un par un, du brouillard roux qui remonte le fleuve.

Mais j'aime le

mieux placé lors de ces chaudes nuits d'été, lorsque le ciel est épais et étouffé

couleur, et les étoiles brillent petites et timides.

Alors le pouls de la ville est étouffé, et les écailles de l'eau scintillent d'or et d'huile sous la surveillance

régiment de lampes.

Le pont serre ses bras décharnés d'une rive à l'autre, et le battement d'une silhouette qui se retire sonne fort et seul dans le calme.

Là, si vous attendez longtemps

assez, vous entendrez le long gémissement de la sirène, qui semble dire de la

l'angoisse de Londres jusqu'à ce qu'un train se précipite pour étrangler sa note mourante,

rugissant et se précipitant, tonnant et flamboyant dans la nuit, jetant ses

des crêtes blanches de fumée, chargeant à travers le pont dans le pays sombre au-delà.

Dans la lumière blafarde et persistante de l'après-midi d'hiver, les parcs se dressaient tous

désertes, somnolent paresseusement, à ce qu'il semble, avec leurs vastes distances

étouffé de gris : incolore, fabuleux, flou.

Un par un, à travers le

l'air humide et brumeux, regarda les grands ormes austères et sans vie.

Là-haut s'abaissait un ciel trouble, chargé d'un jaune impur, et au milieu de leurs vilaines taches

de fougères humides et pourries, une petite jument se fraya un chemin sans bruit.

La rumeur de la vie semblait étouffée.

Il n'y avait que le vague rythme apathique de la selle grinçante.

La lumière du jour s'est estompée.

Un linceul de brume fantomatique enveloppait la terre,

et de la distance vaporeuse rampait lentement l'obscurité du soir.

Une lueur maussade palpite au-dessus de vos têtes : des feux follets dorés enfilent leurs

rubans ombragés au-dessus des arbres dorés, et la rumeur sourde et lointaine de la fièvre

Londres attend dans l'air immobile de la nuit.

Les lumières de Hyde Park Corner brillent comme

quelque monstre, constellation dorée, faisant honte aux étoiles ternes.

Et à travers le

à l'est, éclate un signe du ciel, une arabesque cramoisie criarde.

Et tout l'air est suspendu

drapé dans la mystérieuse splendeur somptueuse d'une sombre nuit londonienne.

Je vais me noyer dans les rivières perdues de Londres

Je vais me noyer dans les rivières perdues de Londres

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