Amnesia - Dan Bull

I woke up to nothing but a candle

And the vague understanding that my name is Daniel

Uncertain of my circumstance, nothing else is substantial

I gather fragments of a mind that I might have dismantled

The last dregs of oil burning in the lantern

Dispel the phantoms that hold my memory to ransom

Can I remember the reason that I need to answer them

And descend into madness' inner sanctum?

A humble hunter-gatherer hunted by gatherers

Who are governd by malice in this glum palace of avarice

Undr the thumb of Baron Alexander in its utter vastness

Some cannot handle this and thus succumb to blackness

The kind of dark a pack of matches can’t dispel

The kind that violates your mind 'til it’s a lifeless shell

You’ve made the drive halfway into your private Hell

So finish the trip and enjoy the ride, you might as well

No gunpowder, just a tinderbox

No flint, no pin for picking the locks

No giving up, no going back

No hope, no memory, you don’t know jack

You can run, you can hide

You can shun what’s inside you

But I know your mind

I will come and will find

You can crouch in the dark

Can deny I’m inside

You are only delay

In the day that I find you

I haven’t got a trusty weapon with which I can cut and thrust

So I keep descending into corridors that are bottomless

I cough and splutter on the rotten musk of forgotten husks

Knowing the day of reckoning won’t stop at dusk

When you ride with the Devil, you can’t be too careful

It might be the death of your mind, he’s residing inside you

And therefore you’re frightened and fearful

Crying and tearful because your life is a vessel

Destined to spend every night lying unsettled

So no surprise that you’ll be finding it stressful

When every thread inside your head unravels

Yet nobody’s there to find you dead, I’ve traveled

Through the perils of a feral desert, endeavoured

But effort’s never sufficient whenever you’re in a position

Where decisions you commit to will rip through the firmament

And permanently trick you to tip you even further

Into the slimy bowels of your private Hell

Where chiming bells ring in the news you finally fell

No gunpowder, just a tinderbox

No flint, no pin for picking the locks

No giving up, no going back

No hope, no memory, you don’t know jack

You can run, you can hide

You can shun what’s inside you

But I know your mind

I will come and will find

You can crouch in the dark

Can deny I’m inside

You are only delay

In the day that I find

You can run, you can hide

You can shun what’s inside you

But I know your mind

I will come and will find

You can crouch in the dark

Can deny I’m inside

You are only delay

In the day that I find you

Je me suis réveillé avec rien d'autre qu'une bougie

Et la vague compréhension que mon nom est Daniel

Incertain de ma circonstance, rien d'autre n'est substantiel

Je rassemble des fragments d'un esprit que j'aurais peut-être démantelé

La dernière lie d'huile qui brûle dans la lanterne

Dissiper les fantômes qui retiennent ma mémoire en rançon

Puis-je me souvenir de la raison pour laquelle je dois y répondre ?

Et descendre dans le sanctuaire de la folie ?

Un humble chasseur-cueilleur chassé par des cueilleurs

Qui sont gouvernés par la méchanceté dans ce palais maussade de l'avarice

Sous la coupe du Baron Alexandre dans son immensité totale

Certains ne peuvent pas gérer cela et succombent donc à la noirceur

Le genre de sombre qu'un paquet d'allumettes ne peut pas dissiper

Le genre qui viole votre esprit jusqu'à ce qu'il devienne une coquille sans vie

Vous avez fait le trajet à mi-chemin dans votre enfer privé

Alors finissez le voyage et profitez de la balade, vous pourriez aussi bien

Pas de poudre à canon, juste une poudreuse

Pas de silex, pas de goupille pour crocheter les serrures

Pas d'abandon, pas de retour en arrière

Pas d'espoir, pas de mémoire, tu ne connais pas Jack

Tu peux courir, tu peux te cacher

Tu peux fuir ce qu'il y a en toi

Mais je connais ton esprit

Je viendrai et je trouverai

Vous pouvez vous accroupir dans le noir

Je peux nier que je suis à l'intérieur

Vous n'êtes que retard

Le jour où je te trouve

Je n'ai pas d'arme fiable avec laquelle je peux couper et pousser

Alors je continue à descendre dans des couloirs sans fond

Je tousse et crachote sur le musc pourri des cosses oubliées

Savoir que le jour du jugement ne s'arrêtera pas au crépuscule

Lorsque vous roulez avec le diable, vous ne pouvez pas être trop prudent

C'est peut-être la mort de votre esprit, il réside en vous

Et donc tu es effrayé et craintif

Pleurer et pleurer parce que ta vie est un vaisseau

Destiné à passer toutes les nuits à rester instable

Il n'est donc pas surprenant que vous trouviez cela stressant

Quand chaque fil à l'intérieur de ta tête se défait

Pourtant, personne n'est là pour te trouver mort, j'ai voyagé

À travers les périls d'un désert sauvage, s'est efforcé

Mais l'effort n'est jamais suffisant chaque fois que vous êtes dans une position

Où les décisions auxquelles vous vous engagez vont déchirer le firmament

Et vous piéger en permanence pour vous donner encore plus de pourboire

Dans les entrailles visqueuses de votre enfer privé

Où les cloches sonnent dans la nouvelle que tu es finalement tombé

Pas de poudre à canon, juste une poudreuse

Pas de silex, pas de goupille pour crocheter les serrures

Pas d'abandon, pas de retour en arrière

Pas d'espoir, pas de mémoire, tu ne connais pas Jack

Tu peux courir, tu peux te cacher

Tu peux fuir ce qu'il y a en toi

Mais je connais ton esprit

Je viendrai et je trouverai

Vous pouvez vous accroupir dans le noir

Je peux nier que je suis à l'intérieur

Vous n'êtes que retard

Le jour où je trouve

Tu peux courir, tu peux te cacher

Tu peux fuir ce qu'il y a en toi

Mais je connais ton esprit

Je viendrai et je trouverai

Vous pouvez vous accroupir dans le noir

Je peux nier que je suis à l'intérieur

Vous n'êtes que retard

Le jour où je te trouve