The Farewell Song - Dark Lunacy

Last chapter of the siege

Slowly darkness falls

Rumours of steps that come to me

My end is near, just for a while I’ll resist, and throwing out this sheet,

the last ruins of time

Behind my back he’ll take the book from my hand

Turn off the light’s of my eyes and keep my memories, keep it closer, screaming.

My dumb resistance, my dumb resistance, die once again, 'cause I don’t care

My dumb resistance, die once again, 'cause I don’t care

No more to say, Pulkovo stands as I lay, the wheels that cross the ice

The ghost boatmen of time.

I wish I die, to sleep again with my child

Oh, want you take me there, on white memory sleigh, laying closer, screaming…

My dumb resistance, my dumb resistance, die once again, 'cause I don’t care

My dumb resistance, my dumb resistance, die once again, 'cause I don’t care…

When I’ll can’t see by blindfold, who will shoot to my lost heart

Blank cartridge strikes unaware to let you hide…

Last chapter of the siege

Slowly darkness falls

Rumours of the steps… take me far

NO ONE FORGET… NOTHING… FORGOTTEN…

Dernier chapitre du siège

Lentement l'obscurité tombe

Des rumeurs d'étapes qui me viennent à l'esprit

Ma fin est proche, juste pour un moment je vais résister, et jeter ce drap,

les dernières ruines du temps

Derrière mon dos, il prendra le livre de ma main

Éteignez la lumière de mes yeux et gardez mes souvenirs, gardez-les plus près, en criant.

Ma résistance stupide, ma résistance stupide, meurs encore une fois, parce que je m'en fiche

Ma résistance stupide, meurs encore une fois, parce que je m'en fiche

Pas plus à dire, Pulkovo se tient pendant que je suis allongé, les roues qui traversent la glace

Les bateliers fantômes du temps.

J'aimerais mourir, dormir à nouveau avec mon enfant

Oh, veux-tu m'emmener là-bas, sur un traîneau à mémoire blanche, allongé plus près, criant…

Ma résistance stupide, ma résistance stupide, meurs encore une fois, parce que je m'en fiche

Ma résistance stupide, ma résistance stupide, meurs encore une fois, parce que je m'en fiche...

Quand je ne pourrai pas voir avec les yeux bandés, qui tirera sur mon cœur perdu

Une cartouche vierge frappe sans s'en apercevoir pour vous permettre de vous cacher…

Dernier chapitre du siège

Lentement l'obscurité tombe

Les rumeurs des pas… m'emmènent loin

PERSONNE N'OUBLIE… RIEN… N'OUBLIE…