Song From The Kitty Kat Keller - David J, Kevin Haskins

I’m not politically ticklish and theory makes me weary,

And affairs of state aren’t my kind of affairs,

And I’d never bed nor much less wed,

The wack whose flag is deepest red,

My tastes run more to London derrires…

But at rallies in the night with all the torches burning bright,

I feel a stirring that I can’t neglect,

And I’ll grasp with mad abandon any lad with an armband on,

Whose cute salute is many and erect.

I like the boots,

I like the attitude,

I like the point at which the legal meets the lewd.

I like the thrill,

Of the triumphant will,

I like the marching and the music and the mood.

So if some blond and blue-eyed boy,

Would like to teach me strength through joy,

So that my liberal tendencies are cured,

If it should be decreed by fate,

That you invade my neighbouring state,

That my frontiers will be open, rest assured.

And at rallies in the night with all the torches burning bright,

I feel a stirring that I can’t neglect,

And I’ll grasp with mad abandon any lad with an armband on,

Whose cute salute is many and erect.

I like the boots,

I like the attitude,

I like the point at which the legal meets the lewd.

I like their skin,

I like the discipline,

And the enormous sense of license it provides.

And when they say «Hi»…

And when they say «Hi»!

I smile and liquefy inside,

And when they say «Hi»!

I smile and liquefy inside,

And when they say «Hi»!

Je ne suis pas politiquement chatouilleux et la théorie me fatigue,

Et les affaires d'État ne sont pas mon genre d'affaires,

Et je ne coucherais jamais ni encore moins me marier,

Le wack dont le drapeau est d'un rouge profond,

Mes goûts vont plus aux derrières londoniennes…

Mais lors de rassemblements dans la nuit avec toutes les torches allumées,

Je ressens une agitation que je ne peux pas négliger,

Et je saisirai avec un abandon fou tout garçon avec un brassard,

Dont le salut mignon est nombreux et droit.

J'aime les bottes,

J'aime l'attitude,

J'aime le point auquel le légal rencontre l'obscène.

J'aime le frisson,

De la volonté triomphante,

J'aime la marche, la musique et l'ambiance.

Donc si un garçon blond aux yeux bleus,

Voudrais m'enseigner la force par la joie,

Pour que mes tendances libérales soient guéries,

Si cela devait être décidé par le destin,

Que tu envahis mon état voisin,

Que mes frontières seront ouvertes, rassurez-vous.

Et lors de rassemblements dans la nuit avec toutes les torches allumées,

Je ressens une agitation que je ne peux pas négliger,

Et je saisirai avec un abandon fou tout garçon avec un brassard,

Dont le salut mignon est nombreux et droit.

J'aime les bottes,

J'aime l'attitude,

J'aime le point auquel le légal rencontre l'obscène.

J'aime leur peau,

J'aime la discipline,

Et l'énorme sentiment de licence qu'il fournit.

Et quand ils disent "Salut"…

Et quand ils disent «Salut»!

Je souris et me liquéfie à l'intérieur,

Et quand ils disent «Salut»!

Je souris et me liquéfie à l'intérieur,

Et quand ils disent «Salut»!