Carry Me Like The Wind - David Ramírez

I was born in the city

It’s the only country I know

But deep inside me are rivers, canyons, and plateaus

And all the glory of American Soil

It’s richer than any farm land holds

I’ve stood on the mountains of Washington

And tasted the snow

And on the old brick streets of windy Chicago

I’ve swam the oceans of Sea Side and San Diego

I’ve run the plains of my Texas home

We were born of dreamers

So a dreamer I’ll remain even if I’m the only one

Because my heart is red and my brain says, «There is too much road to be left

alone»

So carry me like the wind and back home again

So in my final days I want to look like the mountains of northern California

For every line on my body I want a thousand stories

And for my heart to hold the great American novel

I have many friends but time is not one

He just rolls down that road as I hold out my thumb

Waiting for the day he puts me deep, deep in the grave

Bury me in American Soil

Deep in the ground with my forefathers

So I too, may whisper to all who follow

The same words carved into my skin

Carry me like the wind…

Je suis né dans la ville

C'est le seul pays que je connaisse

Mais au fond de moi, il y a des rivières, des canyons et des plateaux

Et toute la gloire du sol américain

C'est plus riche que n'importe quelle terre agricole

Je me suis tenu sur les montagnes de Washington

Et goûté la neige

Et dans les vieilles rues de briques de Chicago venteux

J'ai nagé dans les océans de Sea Side et de San Diego

J'ai couru dans les plaines de ma maison au Texas

Nous sommes nés de rêveurs

Alors un rêveur, je resterai même si je suis le seul

Parce que mon cœur est rouge et que mon cerveau dit : "Il y a trop de route à être laissée

seule"

Alors porte-moi comme le vent et rentre à la maison

Alors dans mes derniers jours, je veux ressembler aux montagnes du nord de la Californie

Pour chaque ligne de mon corps, je veux mille histoires

Et pour que mon cœur tienne le grand roman américain

J'ai beaucoup d'amis mais le temps n'en est pas un

Il roule juste sur cette route alors que je tends mon pouce

En attendant le jour où il me mettra profondément, profondément dans la tombe

Enterrez-moi dans le sol américain

Profondément dans le sol avec mes ancêtres

Alors moi aussi, je peux murmurer à tous ceux qui suivent

Les mêmes mots gravés dans ma peau

Porte-moi comme le vent…