Street Gangs - Daz Dillinger

To the adult world the casual violonce of gang life was horrifing

But in the distorted world of gangs risking death by getting shot was one sure

way of winning a gangs respect

I was shot when I was 15 or 16

(shots fired in the area gang fight in the parking lot)

When my longs collapsed uhm.

the the 22 is still lodge in my chest to dis day

See getting shot and livin was more for my ego it was more for my image

I could now I could walk around like supeman.

Id been shot I’m you know I’m I’m

the great I am now in my chest at that?

They show off their scars the way war veterans display purple hearts.

I got shot in the heart and um…

These are other scars that Ive had from other neighborhood fightings and doesnt

stop

Do you get used to death?

Do you get used to the fact that you could die anyday?

(Do you get used to it?)

See i dont worru bout that till you get hit by dat bullet, see like thats just

like when people steal cars they dont worry about getting caught till they get

caught right?

Same when we shooting at a person i dont think about getting

caught till i get caught

The explosion of gangs in the last to decades of the 20th century grew under a

much larger problem.

The rise of a social under class and americas failure to

provide hope.

The children bored into a world of disitigrating family life and

grinding poverty.

All though there small successes with programs designed to

create a future for some of those children, no one came up with a large scale

program that delt effectedly, with the forces of dispare and alienaion that

promted some many young americans to look for their identity and theit self

asteem in the world of street gangs.

(street gangs street gangs street gangs

street gangs)

Pour le monde adulte, le violonce occasionnel de la vie de gang était horrible

Mais dans le monde déformé des gangs, risquer la mort en se faisant tirer dessus était une certitude

manière de gagner le respect d'un gang

J'ai été abattu quand j'avais 15 ou 16 ans

(coups de feu tirés dans la zone bagarre de gangs dans le parking)

Quand mes envies se sont effondrées euh.

le 22 est toujours logé dans ma poitrine aujourd'hui

Voir se faire tirer dessus et vivre était plus pour mon ego, c'était plus pour mon image

Je pourrais maintenant je pourrais me promener comme un supeman.

J'ai été abattu, je suis tu sais que je suis je suis

le grand que je suis maintenant dans ma poitrine à ça ?

Ils exhibent leurs cicatrices comme les anciens combattants exhibent des cœurs violets.

J'ai reçu une balle dans le cœur et euh...

Ce sont d'autres cicatrices que j'ai eues d'autres combats de quartier et non

arrêt

Vous habituez-vous à la mort ?

Vous êtes-vous habitué au fait que vous pourriez mourir n'importe quand ?

(Vous y êtes-vous habitué ?)

Tu vois, je ne m'inquiète pas pour ça jusqu'à ce que tu sois touché par cette balle, tu vois comme c'est juste

comme quand les gens volent des voitures, ils ne s'inquiètent pas de se faire prendre jusqu'à ce qu'ils soient

attrapé non?

Pareil lorsque nous tirons sur une personne que je ne pense pas à prendre

pris jusqu'à ce que je sois pris

L'explosion des gangs au cours des dernières à décennies du 20e siècle s'est développée sous un

problème beaucoup plus vaste.

La montée d'une sous-classe sociale et l'échec des Amériques à

donner de l'espoir.

Les enfants s'ennuient dans un monde de vie de famille désinitialisant et

misère.

Bien qu'il y ait de petits succès avec des programmes conçus pour

créer un avenir pour certains de ces enfants, personne n'a proposé une grande échelle

programme qui s'est effondré, avec les forces de disparition et d'aliénation qui

a incité de nombreux jeunes américains à rechercher leur identité et eux-mêmes

estime dans le monde des gangs de rue.

(gangs de rue gangs de rue gangs de rue

gangs de rue)