Trauma Harness - Defiler

I believe

Not in your world of warmth in your souls, and dreams of castles built upon sand

I choose to wrest my reign in the realm of panic and the pleading of the damned

I care not to know your dejected life or the worthless sum of its parts

I am untethered, and I am all — I am one with the abyss, the «is-not», the dark,

and the fall

God won’t let me die, no matter how hard I fucking try, so a ghost came to me

in the middle of the night and asked me to relay…

«Enter th crowned

Lord of hate, I have arrivd to reveal my face

So you will either bow, or I will lay fucking waste

I have come to share with you the secrets from beyond, so you ask,

‘who or what are you?'»

I-am-the

King of black widows, and

I speak the language of ghosts

I lost the need, to need, long ago

A stomach full of hornets, a deity depraved

A million words at my disposal, and this is what I’ve chosen to say

Stripped naked and face down to take the long nap

From which there is no coming back

Unworthy of a burial and even less a tomb, so put that unmarked shallow grave

to use and make chrysanthemum bloom

«They neglect to heed your warnings yet, so maybe they’ll listen to me

I am beyond, the brink and the spark

(I am your ghost)

The lightning rods and the inviolable dark

You see my face in all that you hate

(your phantom, your ghost)

I am the end of all to be created

I await those who cannot discern

(Could we share this dance?)

Between a loss and a lesson to learn

I cannot die and I will not disappear

(Give the other side a chance)

And you will love me when the answer is clear»

Tell me, has the pain finally stopped?

Je crois

Pas dans votre monde de chaleur dans vos âmes et de rêves de châteaux construits sur le sable

Je choisis d'arracher mon règne au royaume de la panique et de la supplication des damnés

Je me soucie de ne pas connaître votre vie abattue ou la somme sans valeur de ses parties

Je suis libre, et je suis tout - je ne faire un avec l'abîme, le « n'est-pas », l'obscurité,

et la chute

Dieu ne me laissera pas mourir, peu importe à quel point j'essaie, alors un fantôme est venu vers moi

au milieu de la nuit et m'a demandé de relayer…

"Entrez le couronné

Seigneur de la haine, je suis arrivé pour révéler mon visage

Alors soit tu t'inclineras, soit je dévasterai

Je suis venu partager avec vous les secrets de l'au-delà, alors vous demandez,

'qui ou quoi es-tu ?' »

je-suis-le

Roi des veuves noires, et

Je parle la langue des fantômes

J'ai perdu le besoin, d'avoir besoin, il y a longtemps

Un estomac plein de frelons, une divinité dépravée

Un million de mots à ma disposition, et c'est ce que j'ai choisi de dire

Déshabillé et face contre terre pour faire la longue sieste

D'où il n'y a pas de retour

Indigne d'un enterrement et encore moins d'une tombe, alors mettez cette tombe peu profonde non marquée

utiliser et faire fleurir le chrysanthème

"Ils négligent encore de tenir compte de vos avertissements, alors peut-être qu'ils m'écouteront

Je suis au-delà, le bord et l'étincelle

(Je suis ton fantôme)

Les paratonnerres et l'obscurité inviolable

Tu vois mon visage dans tout ce que tu détestes

(ton fantôme, ton fantôme)

Je suis la fin de tout à être créé

J'attends ceux qui ne peuvent pas discerner

(Pourrions-nous partager cette danse ?)

Entre une perte et une leçon à apprendre

Je ne peux pas mourir et je ne disparaîtrai pas

(Donnez une chance à l'autre côté)

Et tu m'aimeras quand la réponse sera claire »

Dites-moi, la douleur a-t-elle enfin cessé ?