The Stream - Delorentos

The walls are tied into the soul

No light to guide me or let me know

The sea will never let me go,

just hold me and crush me and take control

You say that I walk out on when you don’t

know the half of the things that I’ve been through

Even though I love you, you’re a fool

But the stream, it carries me on

Both the leaves and banks are kissed by the sun

Just take me away to a place

That I went to when I was young

The stream, it carries me on

The fight will tighten up the ropes

Till feelings gone and freedom’s choked

And a cry will only feed the flame

And the faintest call would be the same

With heartaches and sorrows, floating from the treetops

With nothing to bind them too

I’m tied up, defenseless

Hanging by a feeling, with nothing to fall in to

Even though I love you, you’re a fool

But the stream, it carries me on

Both the leaves and banks are kissed by the sun

Just take me away to a place

That I went to when I was young

The stream, it carries me on

Les murs sont liés à l'âme

Aucune lumière pour me guider ou me faire savoir

La mer ne me laissera jamais partir,

tiens-moi et écrase-moi et prends le contrôle

Tu dis que je sors quand tu ne le fais pas

connais la moitié des choses que j'ai traversées

Même si je t'aime, tu es un imbécile

Mais le courant, ça me porte

Les feuilles et les rives sont embrassées par le soleil

Emmène-moi juste dans un endroit

Où je suis allé quand j'étais jeune

Le flux, il me porte

Le combat resserrera les cordes

Jusqu'à ce que les sentiments disparaissent et que la liberté soit étouffée

Et un cri ne fera qu'alimenter la flamme

Et l'appel le plus faible serait le même

Avec chagrins et chagrins, flottant de la cime des arbres

Sans rien pour les lier aussi

Je suis ligoté, sans défense

Suspendu par un sentiment, sans rien tomber dans

Même si je t'aime, tu es un imbécile

Mais le courant, ça me porte

Les feuilles et les rives sont embrassées par le soleil

Emmène-moi juste dans un endroit

Où je suis allé quand j'étais jeune

Le flux, il me porte