Voici les paroles de la chanson : Mi Pena , artiste : Denom, Maka Avec traduction
Texte original avec traduction
Denom, Maka
Y ¿Por qué nadie quiere mi pena?
¡Ya está bien de tantos problemas!
Yo también merezco una vida,
que sufrirla al final me entierra.
Cuando crees que van mal las cosas,
el nai que se te empeora,
y sé la ruina no viene sola,
no hay remedio y la mamá llora.
No hay un día que no piense en cómo salir de esto,
no tengo alma, apenas siento, me volví frío,
en un mundo que es imperfecto,
busco el motivo de seguir vivo sin arrepentirme de ello.
Nadie sabe lo que vivo,
es muy fácil hablar las cosas sin ningún sentido,
todo en balde, no hay derecho,
que los años se pasen y sólo ser como desecho,
ya nada me duele, soy como las piedras,
mis ojos no lloran, ya no siento lastima,
desde ya hace tiempo, ya no soy persona,
voy como los vute, aunque late mi corazón,
mátame, mátame, mátame…
Y ¿Por qué nadie quiere mi pena?
¡Ya está bien de tantos problemas!
Yo también merezco una vida,
que sufrirla al final me entierra.
Cuando crees que van mal las cosas,
el nai que se te empeora,
y sé la ruina no viene sola,
no hay remedio y la mamá llora.
Anduve buscando la excusa y razón,
perdido sin rumbo, motivo, no opción.
Anduve buscando de dónde soy yo,
mi hambre y mis nervios, ambición y dolor,
buscaba perdido arañando el odio,
si lloro escribo sólo sangre al folio,
describo la esencia;
silencio solo,
cansao' de arreglar por romperlo todo,
báilame pena, ahógame o rema,
mi barco perdido en la arena,
vacíame o llena, una vida entera,
mi infancia metido en problemas, más,
todo que apañar es a la verdad,
cada uno carga su condena,
no frena no llama, pensando en lana,
no fue a Disney Land pero irá a Punta Cana,
la feria, la mama,
aprendí a cogerlo mientras otros maman,
aquí hay que currar y correr pa' ganarse el pan,
vienen y van, las palabras no valen de nada,
familia cansada, hermanito preso,
menores casaos' con la droga en los huesos,
la ruina va al peso, agua en Marruecos,
siempre contigo aun estando lejos,
la vida partida en mil trozos,
ese hombre hablando no lo conozco,
me rompen, no alivian tus ojos.
Canso' de aprender a arreglar lo que rompo,
compongo el dolor al papel, no llorando en su hombro,
cansao' de romper lo que quiero,
las llamas y el fuego, mi vida en retales y escombros.
Y ¿Por qué nadie quiere mi pena?
¡Ya está bien de tantos problemas!
Yo también merezco una vida,
que sufrirla al final me entierra.
Cuando crees que van mal las cosas,
el nai que se te empeora,
y sé la ruina no viene sola,
no hay remedio y la mamá llora.
Et pourquoi personne ne veut ma douleur ?
Assez déjà de tant de problèmes !
Moi aussi je mérite une vie
que le souffrir à la fin m'enterre.
Quand tu penses que les choses vont mal
le nai qui s'aggrave,
et je sais que la ruine ne vient pas seule,
il n'y a pas de remède et la mère pleure.
Il n'y a pas un jour où je ne pense pas à comment m'en sortir,
Je n'ai pas d'âme, je sens à peine, je suis devenu froid,
dans un monde imparfait,
Je cherche la raison de rester en vie sans le regretter.
Personne ne sait ce que je vis,
il est très facile de parler de choses sans aucun sens,
en vain, il n'y a pas de droit,
Que les années passent et ne deviennent que du gâchis,
plus rien ne me fait mal, je suis comme des pierres,
mes yeux ne pleurent plus, je n'ai plus pitié,
depuis longtemps, je ne suis plus une personne,
Je vais comme le Vute, bien que mon cœur bat,
tue-moi, tue-moi, tue-moi...
Et pourquoi personne ne veut ma douleur ?
Assez déjà de tant de problèmes !
Moi aussi je mérite une vie
que le souffrir à la fin m'enterre.
Quand tu penses que les choses vont mal
le nai qui s'aggrave,
et je sais que la ruine ne vient pas seule,
il n'y a pas de remède et la mère pleure.
Je cherchais l'excuse et la raison,
perdu sans but, motif, pas option.
Je cherchais d'où je venais,
ma faim et mes nerfs, ambition et douleur,
J'avais l'air perdu, griffant la haine,
si je pleure je n'écris que du sang sur la page,
Je décris l'essentiel;
silence seul,
Fatigué de réparer pour tout casser,
danse-moi le chagrin, noie-moi ou rame,
mon bateau perdu dans le sable,
vide-moi ou remplis-moi, toute une vie,
mon enfance a eu des problèmes, plus,
tout ce qui fixe est la vérité,
chacun porte sa peine,
ne s'arrête pas n'appelle pas, pensant à lana,
n'est pas allé à Disney Land mais ira à Punta Cana,
la foire, la maman,
J'ai appris à l'attraper pendant que les autres sucent,
ici il faut travailler et courir pour gagner son pain,
ils vont et viennent, les mots ne valent rien,
famille fatiguée, petit frère en prison,
mineurs mariés avec la drogue dans les os,
la ruine va au peso, l'eau au Maroc,
toujours avec toi même loin,
vie brisée en mille morceaux,
Je ne connais pas cet homme qui parle,
Ils me brisent, ils ne soulagent pas tes yeux.
Fatigué d'apprendre à réparer ce que je casse,
Je compose la douleur sur papier, sans pleurer sur son épaule,
Fatigué de casser ce que je veux,
les flammes et le feu, ma vie en miettes et décombres.
Et pourquoi personne ne veut ma douleur ?
Assez déjà de tant de problèmes !
Moi aussi je mérite une vie
que le souffrir à la fin m'enterre.
Quand tu penses que les choses vont mal
le nai qui s'aggrave,
et je sais que la ruine ne vient pas seule,
il n'y a pas de remède et la mère pleure.
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