Gray Conclusion - Devanation

Why the fuck do I feel this way

The hatred is breeding strength

The road is closed ahead but I’m moving faster with every step I take

I don’t wanna see tomorrow if it means triviality in-comparable banality,

everyone I see is living sickness breathing

So I guess I can’t be too far out from there, stupid and ugly and worshipped

for nothing

We’re fighting and fucking and loving and gushing

I doubt there’s time for rushing

Take a drink sit back relax

Devanations here to break your fucking backs, I wasn’t done,

You’re smoking crack, so for a matter of fact

I feel invisible, fucking invincible

The red is blinding

I feel equivocal and ever despicable

And the road is winding

You already know the scorn is binding, but where do I go from here?

(Give me a gun)

My hands slipped off the wheel and the wall is in front of me,

but I greet it with a smile

Because the future is vile, look into the eyes of a child

So innocent so ignorant, take it from a motherfucker that’s brilliant

Your futile idealism is malignant, irreparable and militant

I hope that you hear this and cringe I hope you bring it up to your therapist

I pray that after you hear this or read this,

You buy a gun and bulletproof vest and take them,

Take em all, everyone, it’s time to fall

Write it on the walls, it’s a nightmare casting call, bring the monsters,

bring the pain and blanket Mother Earth with blood and hate

I feel invisible, fucking invincible

The red is blinding

I feel equivocal and ever despicable

And the road is winding

You already know the scorn is binding, but where do I go from here?

(Give me a gun)

I’m talking like ripped to shreds I mean scraped to shit by an 18 wheeler

Feed a man for free and he’ll be back for more

Feed a man a bullet, you’ll never hear from him again

I feel invisible, fucking invincible

The red is blinding

I feel equivocal and ever despicable

And the road is winding

You already know the scorn is binding, but where do I go from here?

(Give me a gun)

Pourquoi diable est-ce que je me sens comme ça

La haine engendre la force

La route est fermée devant, mais j'avance plus vite à chaque pas que je fais

Je ne veux pas voir demain si cela signifie trivialité incomparable banalité,

tout le monde que je vois souffre de la maladie de vivre

Donc je suppose que je ne peux pas être trop loin de là, stupide et moche et vénéré

pour rien

Nous nous battons et baisons et aimons et jaillissons

Je doute qu'il soit temps de se précipiter

Prendre un verre, s'asseoir, se détendre

Dévanations ici pour te casser le putain de dos, je n'avais pas fini,

Vous fumez du crack, donc pour une question de fait

Je me sens invisible, putain d'invincible

Le rouge est aveuglant

Je me sens équivoque et toujours méprisable

Et la route est sinueuse

Vous savez déjà que le mépris est contraignant, mais que dois-je faire à partir de maintenant ?

(Donnez-moi un pistolet)

Mes mains ont glissé du volant et le mur est devant moi,

mais je le salue avec un sourire

Parce que l'avenir est vil, regarde dans les yeux d'un enfant

Si innocent, si ignorant, prenez-le d'un enfoiré qui est brillant

Votre idéalisme futile est malin, irréparable et militant

J'espère que vous entendez cela et que vous grincer des dents J'espère que vous en parlerez à votre thérapeute

Je prie pour qu'après avoir entendu ou lu ceci,

Vous achetez une arme à feu et un gilet pare-balles et vous les prenez,

Prenez-les tous, tout le monde, il est temps de tomber

Écrivez-le sur les murs, c'est un appel de casting cauchemardesque, amenez les monstres,

apporter la douleur et couvrir la Terre Mère de sang et de haine

Je me sens invisible, putain d'invincible

Le rouge est aveuglant

Je me sens équivoque et toujours méprisable

Et la route est sinueuse

Vous savez déjà que le mépris est contraignant, mais que dois-je faire à partir de maintenant ?

(Donnez-moi un pistolet)

Je parle comme déchiré en lambeaux, je veux dire éraflé par un 18 roues

Nourrissez un homme gratuitement et il reviendra pour plus

Nourrissez un homme d'une balle, vous n'entendrez plus jamais parler de lui

Je me sens invisible, putain d'invincible

Le rouge est aveuglant

Je me sens équivoque et toujours méprisable

Et la route est sinueuse

Vous savez déjà que le mépris est contraignant, mais que dois-je faire à partir de maintenant ?

(Donnez-moi un pistolet)