Paper Tigers - Dirty Dike, Verb T, Chester P

Jumping out of moving cars

I dance lucid in a room of stars

I chewed apart the nasty rumour that I’m human art

And since youth I’d pass zoots and dig into the past

I used to laugh but now I see the bitter truth

There’s something in the sentences

Something like adventures of a hedonist

Precious bitches getting jealous of their friends and shit

It wasn’t mentioned but the sentiment was definite

I see the separated petals getting delicate

You know I see you

Your smokescreens are see-through

Clean view open so there’s no need to need you

I speak truth and know the coke dreams precede you

Throat bleeds a closed leak of flows beaming Hebrew

Happiness I grab it back and habitat I smash to bits

Snapping twigs to match the apathy I haven’t gripped

Grab and sip liquor back, an agitated pacifist

Incubate a panic, flicking magic cuz the planet twists

We watch your simple life, complicate the shit and die

Compensate the bitch you like and conversate with bitter lies

Just another what’s-his-face sitting round the crib at night

Getting high, twisted in the mystery within the mind

I pick the splinters out with imagery and intertwine

Sipping white wine and thinking «Isn't this a wicked time?»

Piss and cry, wishing I could distance it and simplify the shit inside

And still I’m living with it, kid goodbye

I’m walking openly wild in a field of paper tigers

Reoccupying these skies I deserted earlier

Rise of the ghostly riders, unhinged in my psychedelia

Signs of a new Siberian (?) that’ll bite inferior minds

Remind me later of keeping up social etiquettes

Fuck your mediums, peeving on urban tediums

Sleeping is overrated, they failed on the first forget-me-nots

These morbid hurdles of faith in a world of deadly plots

Tomorrows yesterdays drown in a single pinch of salt

Grounds of drowning rats beyond doubts with an air of rancid faults

These kids are cancer, my visor is autopilot

Advising these worldly famers to steer from the path of pirates

I’m flying the skull and bones in a war that has never ended

I’m more than a battle rapper, my ego has transcended

The birth of a revolution, returning to your revolvers with fingers around the

triggers of life and my whole involvement

We watch your simple life, complicate the shit and die

Compensate the bitch you like and conversate with bitter lies

Just another what’s-his-face sitting round the crib at night

Getting high, twisted in the mystery within the mind

I pick the splinters out with imagery and intertwine

Sipping white wine and thinking «Isn't this a wicked time?»

Piss and cry, wishing I could distance it and simplify the shit inside

And still I’m living with it, kid goodbye

Flickering holograms, a hollow heart, hollow man

Sat doing fuck all then laughing like it’s gone to plan

Contraband gets abused whenever we get in moods

And telling every tale about it whenever we step in booths

I’m sat unamused, I’m sorry, who the fuck are you?

Telling me your life story, man that shit is nothing new

I’m taking off flying, look mate I’m not lying

I would love to listen but I’ve got paint to watch drying

You see the hot iron brand 'em, it’s remarkable

We herd 'em up because I heard enough of what they churning up

Just another so-and-so poncing cigarettes

And feeling bitterness but forever talking 'bout us indirect

Living in a twisted mess and sipping death from a cup

What a cunt, you on the up?

Nah, that is incorrect

Drama queens, self obsessed

Went mad and felt possessed to leap into the fire

Now we dining on the melted flesh

We watch your simple life, complicate the shit and die

Compensate the bitch you like and conversate with bitter lies

Just another what’s-his-face sitting round the crib at night

Getting high, twisted in the mystery within the mind

I pick the splinters out with imagery and intertwine

Sipping white wine and thinking «Isn't this a wicked time?»

Piss and cry, wishing I could distance it and simplify the shit inside

And still I’m living with it, kid goodbye

Sauter d'une voiture en mouvement

Je danse lucide dans une salle d'étoiles

J'ai mâché la vilaine rumeur selon laquelle je suis un art humain

Et depuis l'enfance, je passerais des zoots et creuserais dans le passé

J'avais l'habitude de rire mais maintenant je vois l'amère vérité

Il y a quelque chose dans les phrases

Quelque chose comme les aventures d'un hédoniste

De précieuses chiennes deviennent jalouses de leurs amis et de la merde

Cela n'a pas été mentionné, mais le sentiment était certain

Je vois les pétales séparés devenir délicats

Tu sais que je te vois

Vos écrans de fumée sont transparents

Vue propre ouverte pour qu'il n'y ait pas besoin d'avoir besoin de vous

Je dis la vérité et je sais que les rêves de coke te précèdent

La gorge saigne une fuite fermée de flux rayonnant d'hébreu

Le bonheur, je le récupère et l'habitat, je le brise en morceaux

Casser des brindilles pour correspondre à l'apathie que je n'ai pas saisie

Prenez et sirotez de l'alcool, un pacifiste agité

Incuber une panique, effleurant la magie parce que la planète se tord

Nous surveillons votre vie simple, compliquons la merde et mourons

Compensez la chienne que vous aimez et conversez avec des mensonges amers

Juste un autre what's-his-face assis autour du berceau la nuit

Se défoncer, tordu dans le mystère dans l'esprit

Je ramasse les éclats avec des images et m'entrelace

En sirotant du vin blanc et en pensant "N'est-ce pas un mauvais moment ?"

Pisser et pleurer, souhaitant pouvoir le distancer et simplifier la merde à l'intérieur

Et je vis toujours avec ça, gamin au revoir

Je marche ouvertement sauvage dans un champ de tigres de papier

Réoccupant ces cieux que j'ai désertés plus tôt

Montée des cavaliers fantomatiques, déséquilibré dans mon psychédélisme

Signes d'un nouveau Sibérien (?) Qui mordra les esprits inférieurs

Rappelez-moi plus tard de respecter les étiquettes sociales

J'emmerde tes médiums, piquant les ennuis urbains

Dormir est surestimé, ils ont échoué sur les premiers myosotis

Ces obstacles morbides de la foi dans un monde de complots meurtriers

Les lendemains d'hier se noient dans une seule pincée de sel

Motifs de noyade de rats sans aucun doute avec un air de défauts rances

Ces enfants sont cancéreux, ma visière est un pilote automatique

Conseiller à ces agriculteurs mondains de s'écarter du chemin des pirates

Je vole le crâne et les os dans une guerre qui n'a jamais pris fin

Je suis plus qu'un rappeur de combat, mon ego a transcendé

La naissance d'une révolution, revenir à vos revolvers avec les doigts autour de la

les déclencheurs de la vie et toute mon implication

Nous surveillons votre vie simple, compliquons la merde et mourons

Compensez la chienne que vous aimez et conversez avec des mensonges amers

Juste un autre what's-his-face assis autour du berceau la nuit

Se défoncer, tordu dans le mystère dans l'esprit

Je ramasse les éclats avec des images et m'entrelace

En sirotant du vin blanc et en pensant "N'est-ce pas un mauvais moment ?"

Pisser et pleurer, souhaitant pouvoir le distancer et simplifier la merde à l'intérieur

Et je vis toujours avec ça, gamin au revoir

Des hologrammes scintillants, un cœur creux, un homme creux

Je me suis assis en train de tout baiser puis de rire comme si c'était prévu

La contrebande est abusée chaque fois que nous sommes de mauvaise humeur

Et raconter chaque histoire à ce sujet chaque fois que nous entrons dans les stands

Je suis assis sans s'amuser, je suis désolé, putain, qui es-tu?

Me racontant l'histoire de ta vie, mec cette merde n'est rien de nouveau

Je pars voler, regarde mon pote je ne mens pas

J'adorerais écouter mais j'ai de la peinture à regarder sécher

Vous voyez le fer chaud les marquer, c'est remarquable

Nous les rassemblons parce que j'en ai assez entendu de ce qu'ils brassent

Juste une autre cigarette à poinçonner

Et ressentir de l'amertume mais toujours parler de nous indirectement

Vivre dans un désordre tordu et siroter la mort dans une tasse

Quel connard, t'es sur le up ?

Non, c'est incorrect

Reines du théâtre, obsédées par elles-mêmes

Je suis devenu fou et je me suis senti possédé de sauter dans le feu

Maintenant, nous mangeons de la chair fondue

Nous surveillons votre vie simple, compliquons la merde et mourons

Compensez la chienne que vous aimez et conversez avec des mensonges amers

Juste un autre what's-his-face assis autour du berceau la nuit

Se défoncer, tordu dans le mystère dans l'esprit

Je ramasse les éclats avec des images et m'entrelace

En sirotant du vin blanc et en pensant "N'est-ce pas un mauvais moment ?"

Pisser et pleurer, souhaitant pouvoir le distancer et simplifier la merde à l'intérieur

Et je vis toujours avec ça, gamin au revoir