George Gudger's Overalls - Doc Watson

As I walked out one mornin' in the Alabama chill

I saw some old friends hangin' from a tree on Hobie’s Hill

By their tattered legs they dangled drippin' down along the spine

It was old George Gudger’s overalls a-drying on the line

George Gudger, he’s an honest cuss, and he likes to work his land

I’d long admired them overalls that I held there in my hand

My brand new pair was stiffer than a starched-up Sunday suit

But his could walk 'round by themselves and plow the corn to boot!

Now the knees looked almost bloody from the red Hale County clay

George Gudger’s debts and prayers had kept him kneelin' down all day

Old George owes me money, but I owe him my respect

And if these overalls will fit me, Boy, I’ll forget about his debt

I stepped in to them big old legs like fallin' down a mine

Then I heard a ragged chuckle, and there stood old George behind

A smile of old tobacco juice was tricklin' down his chin

He said, «You might as well try walkin' round in someone else’s skin.

.

.»

«But son, if you like them old friends of mine so much, I guess I can let 'em go

Had to lean 'em to me wife last year, while she’s carry’n Little Joe

She bent down in the fields one day And split that tired old seam

And now she gone and beat 'em half to death on that rock down by the stream'

The knees looked almost bloody from the red Hale County clay

George Gudger’s debts and prayers they kept him kneelin' down all day

You know I walked just like a drunken man, they almost made me fall

They kept tryin' to steer me back towards Gudger’s place, Cuz they’re still Old

George’s overalls!

At home before the mirror I seemed to be a different man

In my mind they kept a seein' His farmed out patch of land

So I took him back his overalls and a week supply of food

I also left my brand new pair and sneaked home in the nude

Alors que je sortais un matin dans le froid de l'Alabama

J'ai vu de vieux amis suspendus à un arbre sur Hobie's Hill

Par leurs jambes en lambeaux, ils pendaient le long de la colonne vertébrale

C'était la salopette du vieux George Gudger qui séchait sur la ligne

George Gudger, c'est un honnête crétin, et il aime travailler sa terre

J'ai longtemps admiré ces salopettes que je tenais là dans ma main

Ma toute nouvelle paire était plus rigide qu'un costume du dimanche empesé

Mais les siens pouvaient se promener seuls et labourer le maïs en plus !

Maintenant, les genoux semblaient presque sanglants à cause de l'argile rouge du comté de Hale

Les dettes et les prières de George Gudger l'avaient tenu à genoux toute la journée

Old George me doit de l'argent, mais je lui dois mon respect

Et si cette salopette me va, Boy, j'oublierai sa dette

Je suis intervenu vers ces grosses vieilles jambes comme si je tombais dans une mine

Puis j'ai entendu un petit rire saccadé, et le vieux George se tenait derrière

Un sourire de vieux jus de tabac coulait sur son menton

Il a dit : « Vous pourriez aussi bien essayer de marcher dans la peau de quelqu'un d'autre.

.

.»

"Mais fils, si tu aimes tellement ces vieux amis à moi, je suppose que je peux les laisser partir

J'ai dû les incliner vers ma femme l'année dernière, alors qu'elle porte Little Joe

Elle s'est penchée dans les champs un jour et a fendu cette vieille couture fatiguée

Et maintenant elle est partie et les a battus à moitié à mort sur ce rocher au bord du ruisseau

Les genoux semblaient presque sanglants à cause de l'argile rouge du comté de Hale

Les dettes et les prières de George Gudger l'ont tenu à genoux toute la journée

Tu sais que j'ai marché comme un homme ivre, ils m'ont presque fait tomber

Ils ont continué à essayer de me ramener chez Gudger, car ils sont toujours vieux

La salopette de George !

À la maison devant le miroir, je semblais être un homme différent

Dans mon esprit, ils gardaient une vue de sa parcelle de terre cultivée

Alors je lui ai ramené sa salopette et une semaine de provisions de nourriture

J'ai aussi laissé ma toute nouvelle paire et je suis rentré chez moi tout nu