Bar Metrò - Don Backy
С переводом

Bar Metrò - Don Backy

  • Année de sortie: 2012
  • Langue: italien
  • Durée: 5:00

Voici les paroles de la chanson : Bar Metrò , artiste : Don Backy Avec traduction

Paroles : Bar Metrò "

Texte original avec traduction

Bar Metrò

Don Backy

Оригинальный текст

Tra stanchi ferrovieri un poco buffi

notturne guardie, con grossi baffi

mandavan giùquel vino come fosse

un Dio con passi di velluto rosso

Per non pensar Domani éun altro giorno

e al puzzo di sudore in pieno inverno

che traspirava dai baveri alzati

dei loro pastranoni stazzonati

Un cameriere brutto quanto basta

ci prospettava riso, oppure pasta

sbirciava l’orologio e — si vedeva — ci odiava

E le puttane su sgabelli appollaiate

con quelle gambe certo troppo accavallate

offrivano agli sguardi di platea

la loro industria con la mercanzia

Mentre i magnaccia nei lapin impellicciati

con quei pesanti anelli grossi ed ostentati

bevendo rhum, contavano la grana

nel mentre che fumavano marjuana

Un fumo grosso si tagliava a fette

l’ora diceva quattro e zerosette

la filodiffusione diffondeva

una canzone, sì, Come pioveva

Seduti al tavolino si aspettava

il risottino, e intanto si capiva

di quanto fosse inutile parlare

di quanto fosse inutile sperare

Ci guardavamo muti dentro gli occhi

per una strada chiusa, senza sbocchi

pensando forse a un’isola lontana, lontana

Ed un barbone che sfogliava le attricette

forse sognando di palpar loro le tette

la sigaretta fatta con cartine

gli provocava tosse senza fine

Le mani vinte, sprofondate nelle tasche

ed un destino, dalle tinte troppo fosche

davanti a una schedina sfortunata

la nostra storia era così, finita

Перевод песни

Parmi les cheminots fatigués un peu marrants

des gardes nocturnes, à grosses moustaches

ils ont avalé ce vin comme si c'était

un Dieu aux pas de velours rouge

Ne pas penser que Demain est un autre jour

et l'odeur de la sueur au milieu de l'hiver

qui transpirait des cols relevés

de leurs capotes froissées

Un serveur assez moche

il nous a promis du riz ou des pâtes

il a jeté un coup d'œil à sa montre et — c'était visible — il nous détestait

Et les putes perchées sur des tabourets

avec ces jambes certainement trop croisées

offert aux regards du public

leur industrie avec des marchandises

Tandis que les proxénètes en fourrure de lapin

avec ces bagues lourdes, larges et ostentatoires

buvant du rhum, ils ont compté le grain

pendant qu'ils fumaient de la marijuana

Une grosse fumée a été coupée en tranches

l'heure disait quatre zéro sept

la musique d'ambiance se répandait

une chanson, oui, comment il a plu

Assis à table, ils attendirent

risotto, et entre temps on a compris

à quel point il était inutile de parler

qu'il était inutile d'espérer

Nous nous regardions silencieusement dans les yeux

sur une route fermée, sans débouchés

peut-être en pensant à une île lointaine et lointaine

Et un clochard qui a feuilleté les starlettes

rêvant peut-être d'abattre leurs seins

la cigarette faite avec du papier à rouler

ça le faisait tousser sans fin

Les mains gagnées, coulées dans les poches

et un destin, avec des teintes trop sombres

devant un ticket malchanceux

ainsi, notre histoire était terminée

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