The Old Cow Man - Don Edwards
С переводом

The Old Cow Man - Don Edwards

Год
1997
Язык
`Anglais`
Длительность
266130

Voici les paroles de la chanson : The Old Cow Man , artiste : Don Edwards Avec traduction

Paroles : The Old Cow Man "

Texte original avec traduction

The Old Cow Man

Don Edwards

Оригинальный текст

I rode across a valley range

I hadn’t seen for years

The trail was all so spoilt and strange

It nearly fetched the tears

I had to let ten fences down

The fussy lanes ran wrong

And each new line would make me frown

And hum this mournin' song

Mhm, hear 'em stretchin' of the wire!

The urban brand is on the land

I reckon I’ll retire

While progress toots her greedy horn

And makes her motor buzz

I thanks the Lord I wasn’t born

No later than I was

'Twas good to live when all the sod

Without no fence or fuss

Belonged in partnership with God

Mother Nature and to us

Where skyline bounds from east to west

And room to go and come

I loved my fellow man the best

When he was scattered some

Mhm, closer and closer crawls the wire

There’s hardly place to step away

And call a man a liar

Their house has locks on every door

Their land is in a crate

These ain’t the plains of God no more

They’re only real estate

When my old soul hunts range and rest

Beyond the last divide

Just plant me in some stretch of West

Sunny, lone and wide

Let cattle rub the tombstone round

And coyotes mourn their kin

Let horses come and paw the moun'

But don’t you fence it in!

Mhm, far and farther flings the wire

To crowd and pinch another inch

It’s all their heart’s desire

The world is overstocked with men

And some will see the day

When each must keep his little pen

But I’ll be far away

While progress toots her greedy horn

And makes her motor buzz

I thanks the Lord I wasn’t born

No later than I was

Перевод песни

J'ai traversé une chaîne de vallées

Je n'avais pas vu depuis des années

Le sentier était si gâté et étrange

Il a failli tirer les larmes

J'ai dû abattre dix clôtures

Les voies difficiles ont mal tourné

Et chaque nouvelle ligne me ferait froncer les sourcils

Et fredonne cette chanson de deuil

Mhm, entendez-les étirer le fil !

La marque urbaine est sur la terre

Je pense que je vais prendre ma retraite

Tandis que le progrès siffle son klaxon gourmand

Et fait bourdonner son moteur

Je remercie le Seigneur de ne pas être né

Pas plus tard que j'étais

C'était bon de vivre quand tout le monde

Sans aucune clôture ni agitation

Appartenait en partenariat avec Dieu

Mère Nature et à nous

Où la ligne d'horizon délimite d'est en ouest

Et de la place pour aller et venir

J'ai aimé mon compatriote le meilleur

Quand il a été dispersé

Mhm, de plus en plus près rampe le fil

Il n'y a guère de place pour s'éloigner

Et traiter un homme de menteur

Leur maison a des serrures à chaque porte

Leur terre est dans une caisse

Ce ne sont plus les plaines de Dieu

Ce ne sont que des biens immobiliers

Quand ma vieille âme chasse la distance et se repose

Au-delà de la dernière division

Il suffit de me planter dans une partie de l'ouest

Ensoleillé, solitaire et large

Laissez le bétail frotter la pierre tombale

Et les coyotes pleurent leurs proches

Laissez les chevaux venir et patter la montagne

Mais ne le clôturez pas !

Mhm, de plus en plus jette le fil

Pour entasser et pincer un pouce de plus

C'est tout le désir de leur coeur

Le monde est surpeuplé d'hommes

Et certains verront le jour

Quand chacun doit garder son petit stylo

Mais je serai loin

Tandis que le progrès siffle son klaxon gourmand

Et fait bourdonner son moteur

Je remercie le Seigneur de ne pas être né

Pas plus tard que j'étais

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