Doolin-Dalton / Desperado (Reprise) - Eagles

The queen of diamonds let you down,

She was just an empty fable

The queen of hearts you say you never met

Your twisted fate has found you out

And it' fin’lly turned the tables

Stole your dreams and paid you with regret

Desperado

(Is there gonna be anything left, is there gonna be anything?)

You sealed your fate up a long time ago

(Ain't it hard when you’re all alone in the center ring?)

Now there’s no time left to borrow

(Is there gonna be anything left?)

Only stardust

(Maybe tomorrow)

Maybe tomorrow

Maybe tomorrow

Desperado

Desperado

Well the stage was set the sun was sinkin' low down

As they came to town to face another showdown

The lawmen cleared the people from the streets

«All you blood -thirsty bystanders, will you try to Find your seats?»

Watch 'em duelin'

Doolin-Dalton

High or low, it's all the same

Easy money and faithless women

You will never kill the pain

Go down, Bill Doolin, don’t you wonder why

La reine des diamants t'a laissé tomber,

Elle n'était qu'une fable vide

La reine de cœur que tu dis n'avoir jamais rencontrée

Ton destin tordu t'a découvert

Et ça a fini par renverser la vapeur

A volé tes rêves et t'a payé avec regret

Desperado

(Est-ce qu'il va rester quelque chose, est-ce qu'il va rester quelque chose ?)

Tu as scellé ton destin il y a longtemps

(N'est-ce pas difficile quand vous êtes tout seul dans l'anneau central ?)

Il n'y a plus de temps pour emprunter

(Est-ce qu'il va rester quelque chose ?)

Seulement de la poussière d'étoile

(Peut être demain)

Peut être demain

Peut être demain

Desperado

Desperado

Eh bien, le décor était planté, le soleil descendait bas

Alors qu'ils venaient en ville pour faire face à une autre confrontation

Les hommes de loi ont chassé les gens des rues

« Tous les spectateurs assoiffés de sang, allez-vous essayer de trouver vos places ? »

Regardez-les en duel

Doolin Dalton

Haut ou bas, c'est la même chose

Argent facile et femmes infidèles

Tu ne tueras jamais la douleur

Descends, Bill Doolin, ne te demandes-tu pas pourquoi