REFUSE To Be Saved - Elvis Costello, The Roots

Now that you set everybody free

What you going to do about me?

Don’t want to be treated like some poor grateful clown

I’d rather go back in the sweet underground

Where I can tell the time by the color of my skin

And I know my neighbor 'cause he’s the one, yes he’s the one

Who always turns me in

A woman works the tunnel in the middle of the night

Picking up every lost object in sight

Handbags, toupees, lost legs and fingernails

The black market eats up all your failures

Her transistor offers no salvation or regrets

No pool, no pets, no cigarettes

Just non-stop discotheques and the Sex-o-lettes

There’s no name, there’s no name

There’s no name, there’s no name

There’s no name, there’s no name

For the pain we’ll cause you again and again

For the pain we’ll cause you again and again

The Liberation Forces make movies of their own

Playing their Doors records and pretending to be stoned

Drowning out a broadcast that wasn’t authorized

Incidentally the revolution will be televised

With one head for business and another for good looks

Until they started arriving with their rubber aprons and their butcher’s hooks

There’s no name, there’s no name

There’s no name, there’s no name

There’s no name, there’s no name

For the pain we’ll cause you again and again

For the pain we’ll cause you again and again

They’re hunting us down here with Liberty’s light

A handshaking double talking procession of the mighty

Pursued by a T.V. crew and coming after them

A limousine of singing stars and their brotherhood anthem

The former dictator was impeccably behaved

They’re mopping up all the stubborn ones who just refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

I refuse to be saved

Maintenant que tu as libéré tout le monde

Qu'allez-vous faire de moi ?

Je ne veux pas être traité comme un pauvre clown reconnaissant

Je préfère retourner dans le doux sous-sol

Où je peux dire l'heure par la couleur de ma peau

Et je connais mon voisin parce que c'est lui, oui c'est lui

Qui me dénonce toujours

Une femme travaille le tunnel au milieu de la nuit

Ramasser chaque objet perdu en vue

Sacs à main, postiches, jambes et ongles perdus

Le marché noir ronge tous vos échecs

Son transistor n'offre ni salut ni regret

Pas de piscine, pas d'animaux, pas de cigarettes

Juste les discothèques non-stop et les Sex-o-lettes

Il n'y a pas de nom, il n'y a pas de nom

Il n'y a pas de nom, il n'y a pas de nom

Il n'y a pas de nom, il n'y a pas de nom

Pour la douleur que nous te causerons encore et encore

Pour la douleur que nous te causerons encore et encore

Les Forces de libération font leurs propres films

Jouer leurs disques Doors et faire semblant d'être lapidé

Noyer une diffusion non autorisée

Incidemment, la révolution sera télévisée

Avec une tête pour les affaires et une autre pour la beauté

Jusqu'à ce qu'ils commencent à arriver avec leurs tabliers en caoutchouc et leurs crochets de boucher

Il n'y a pas de nom, il n'y a pas de nom

Il n'y a pas de nom, il n'y a pas de nom

Il n'y a pas de nom, il n'y a pas de nom

Pour la douleur que nous te causerons encore et encore

Pour la douleur que nous te causerons encore et encore

Ils nous chassent ici avec la lumière de Liberty

Une procession à double conversation des puissants

Poursuivi par une équipe de télévision et venant après eux

Une limousine de stars de la chanson et leur hymne de fraternité

L'ancien dictateur s'est comporté impeccablement

Ils épongent tous les têtus qui refusent simplement d'être sauvés

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé

Je refuse d'être sauvé