25 Years - Elway

The low-hung harvest moon paints a scarlet on my windowsill

The morning star in pale blue always seems to disappear

I’m tongue-tied and trivial when seeking the truth

I’m a small flame, but I will still wait

The filaments are burnt up in their glassy bulb’s volcanic black

The darkness ages, livid, lost in aspect to the sun

At daybreak the sunlight emblazons the truth

We are ruthless when we are restless

25 years I’ve been lost in rumination

Of friction and fear and old regrets that keep me straying

And I will run if I alter nothing but my angle to the sun

I will run and forever let the darkness be the memory

Of the hollow places I’ve been fleeing from

The last good things worth keeping melt away

But I will find my place

In the fray of their absence

And I won’t spend another breath on sighing

This fog into the cold

Tell the sun I’ll be waiting

For the winter to recant it’s invitation to the comfort of the graveyard

Darling I’m doing alright

La lune des moissons basse peint un écarlate sur le rebord de ma fenêtre

L'étoile du matin en bleu pâle semble toujours disparaître

Je suis muet et trivial quand je cherche la vérité

Je suis une petite flamme, mais j'attendrai encore

Les filaments sont brûlés dans le noir volcanique de leur ampoule vitreuse

L'obscurité vieillit, livide, perdue dans l'aspect du soleil

Au lever du jour, la lumière du soleil arbore la vérité

Nous sommes impitoyables quand nous sommes agités

25 ans que j'ai été perdu dans la rumination

De la friction et de la peur et des vieux regrets qui me font m'éloigner

Et je vais courir si je ne change rien d'autre que mon angle avec le soleil

Je vais courir et laisser pour toujours l'obscurité être le souvenir

Des endroits creux que j'ai fuis

Les dernières bonnes choses à garder fondent

Mais je vais trouver ma place

Dans la mêlée de leur absence

Et je ne passerai pas un autre souffle à soupirer

Ce brouillard dans le froid

Dis au soleil que j'attendrai

Pour que l'hiver se rétracte, c'est une invitation au confort du cimetière

Chérie je vais bien